Les plans d’entraînement sont toujours fort détaillés sur les activités à suivre pour arriver prêt à l’objectif que l’on s’est fixé. En revanche, ils le sont beaucoup moins sur l’importance de la récupération (un sumple “repos” sera mis sur les jours où il ne faut rien faire). Et pour cause, sans ces périodes, fatigue physique (douleurs, rhumes, infections), épuisement mental (fatigue, mauvaise humeur, absenc de libido) et blessures sont autant d’ennemis qui se feront un plaisir de frapper à votre porte. Autrement dit, durant une période de repos, on refait le plein d’énergie, mais également de motivation.
Petit tour d’horizon sur ce qu’il est intéressant de faire et ce qui serait plutôt à proscrire (du moins dans la mesure du possible).
Une astuce qui revient souvent est de consommer des glucides dans les trente minutes suivant la fin de l’exercice afin de ravtailler nos muscles. Egalement, des protéines prises assez rapidement contribueront à la reconstruction des fibres musculaires qui auront été altérées. Il est aussi conseillé de boire jusqu’à ce que l’urine soit de nouveau pâle (ceci constitue un bon indicateur de réhydratation).
Les antidouleurs sont plutôt à proscrire après des entraînements (sauf si l’on ressent des douleurs aigües). Il est préférable de laisser faire la nature.
On n’insistera jamais suffisamment sur l’importance du sommeil, primordial à la récupération. En effet, lorsque l’on dort, nous produisons des hormones qui vont optimiser la réparation et le renforcement de nos muscles (mais aussi de nos os).
Plus généralement, il est toujours conseillé de programmer à minima une journée de repos entre deux sessions intensives dans un plan d’entraînement hebdomadaire (des séances VMA ou au seuil).
Egalement, on remarque que dans tout bon plan d’entraînement, approximativement tous les mois, une semaine est beaucoup moins remplie. Celle-ci est très importante dans la mesure où elle servira à améliorer votre récupération. Evitez donc de la charger comme les autres.
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