Etude sur les limites anatomiques : les hommes trop membrés courent moins vite, c’est prouvé… et ils vivent un enfer !
Les hommes trop bien membrés vivent en réalité un enfer ! C’est vrai dans leur vie de tous les jours et c’est pire quand ils courent, font du trail ou du cross fit.
Où mettre l’engin quand on court ?
Le premier problème rencontré par ces hommes est de s’habiller : autant les femmes qui ont une grosse poitrine peuvent porter des brassières adaptées, autant pour les athlètes masculins, c’est plus délicat.
Première question : Comment éviter les frottements ?
Deuxième question : Où mettre le gros engin, à droite, à gauche ou sous le nombril ?
Troisième question : Comment la cacher ? N’y pensez même pas, la mode trail est au corsaire moulant.
Les traileurs trop membrés sont célibataires
Drame de ces hommes trop bien membrés, ils sont la plupart du temps célibataire.
Un homme doté d’un membre de 22cm de long et 5,5cm de diamètre a ainsi témoigné sur le blog sexo de l’Express… ses partenaires potentielles prennent la fuite quand elles découvrent l’engin. Ils sont seuls.
**En complément, une étude publiée dans le *Journal of Sexual Medicine* (2014) a révélé que près de 60 % des hommes concernés rencontrent des difficultés relationnelles directement liées à la taille de leur anatomie.**
En réalité, la course à pied et le trail ne sont pas recommandés pour les hommes trop bien membrés.
En effet, on sait que l’activité musculaire améliorerait particulièrement les performances sexuelles.
Le sport permet en effet un meilleur rendement du coeur et des tuyaux sanguins, favorisant l’irrigation de tous les muscles mais aussi du pénis… Quand on court, on bande plus dur mais hic… les runners trop bien membrés n’ont vraiment pas besoin de ça !
**Pour approfondir ce point, le Dr Martin Dupuis, médecin du sport à l’Université de Lyon, explique :
“L’augmentation du débit sanguin, couplée à une compression excessive lors d’efforts prolongés, peut engendrer des sensations d’inconfort significatif, voire des risques de blessure locale.”**
Un témoignage inédit d’un traileur concerné
Jean-Paul (prénom modifié), traileur amateur, partage son expérience
: “J’ai dû adapter mes équipements pour éviter les douleurs et les regards gênés lors des courses. Finalement, j’ai trouvé des sous-vêtements de compression spécialement conçus, mais cela reste un combat quotidien.”
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