Il y a une astuce facile pour ne louper aucune séance de son plan entrainement marathon
plan entrainement marathon – On parle souvent des plans d’entraînement, et à juste titre d’ailleurs. Cependant, à l’inverse, il est intéressant, voire important de s’interroger sur l’impact des entraînements manqués. Mais si, vous savez bien… ceux qu’on ne va pas faire car il pleut trop fort (mauvaise excuses, allez vous équiper un peu mieux), parce que vous êtes rentrés tard du boulot (allez-y un peu, ça vous permettra de déconnecter), parce que vous êtes fatigués (mauvaise excuse aussi), parce que vous êtes blessés ou simplement parce que vous avez la flemme (excellente excuses !).
Ici, on ne va pas revenir sur la pertinence des raisons qui vous poussent à procrastiner sur votre plan, mais plutôt sur les conséquences de ladite procrastination. Et vous allez voir, pour peu qu’on mette deux trois choses en place préalablement au commencement de votre plan d’entraînement, ça sera moins cata que vous pouvez le craindre.
Quand on commence un plan entrainement marathon, pour peu qu’on aie un peu de bouteille, on sait très bien qu’on n’arrivera pas à faire toutes les séances prévues, tout simplement parce que ça demande de la disponibilité et de l’énergie, ce qu’on n’a pas toujours. Alors rater une séance, franchement, il ne faut pas vous inquiéter. Il faut savoir que les plans d’entraînement sont conçus de sorte à ce que vous ratiez l’une ou l’autre session sans que ça ne soit la catastrophe.
Si une séance ou l’autre de temps en temps n’est pas problématique, en revanche, quand on commence à zapper plusieurs entraînements, ça craint. Déjà parce que vous pourriez avoir la sensation de prendre du retard sur votre objectif, et essayer de rattraper le temps perdu sera encore pire que mieux. Vous voyez cette fameuse séance de trop qu’on a tous fait au moins une fois ? On est en plein dedans. Surtout quand on arrive en fin de prépa et qu’on a l’impression qu’on n’en a pas assez fait, qu’on veut se rassurer… ça, on oublie !
On peut aussi rater des séances consécutives parce qu’on tombe malade (pour les préparations hivernales en vue d’objectifs printaniers, ça arrive souvent), et c’est pareil, il vaut mieux prendre le temps de se reposer et de bien récupérer que de s’obstiner à s’entraîner alors qu’on est au bout de sa vie. Dans ce cas, comment limiter l’impact ? Ce que vous pouvez faire, si vous savez que vous êtes sujets aux virus d’hiver, c’est commencer votre préparation une à deux semaines plus tôt que prévu. Ainsi, vous vous offre la possibilité de tomber malade ou de juste décider de vous reposer un peu sans culpabiliser, ni prendre de risques. Ou si vous avez l’occasion de partir au ski pendant votre prépa, plutôt que de vous emm*** à aller courir sur place, profitez de vos vacances (qui seront un peu sportives quand même) et commencez votre plan plus tôt en neutralisant cette semaine.
Le tout est de ne pas se stresser face à la prétendue rigidité d’un plan d’entraînement. Ils doivent être comme vous sur les pavés, agiles.
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