séances de côtes
Il faut être un psychopathe pour faire des séances de côte
Qui a dit que le trail ça devait être de la souffrance ? Assurément un psychopathe ou un masochiste. On a dit à plusieurs reprises que ceux qui faisaient du fractionné sur piste étaient probablement possédés par le diable pour aimer faire ça, ou alors pour en faire sans aimer.
Mais que n’a-t-on pas dit de ceux qui étaient tellement possédés que même le diable dirait « ah ouais, t’abuses, là, gros ». Eux, j’hésite entre les vénérer ou les immoler par le feu tellement ils sont fous.
Le fractionné en côte, c’est hyper dur. Courir vite en montée ou en descente, ça demande une technique de fou et une condition physique hallucinante. Et y’a rien à faire, quand on sprinte en côte, on a l’air c***.
Les séances de côtes ça fait mal, c’est répétitif et c’est pervers
Le fractionné en côte, ça fait hyper mal. Que ce soit aux muscles, aux tendons, aux articulations. Et avec en bonus cette délicieuse envie de rendre vos chocapic après la dixième accélération…
Le fractionné en côte, c’est répétitif. Alors, oui, ça l’est moins que la piste (où là, on est dans le hall of fame de la monotonie), mais tapez-vous dix à quinze fois d’affilée la même montée, il y a bien un moment où vous ne pourrez plus la voir en peinture.
Enfin, le fractionné en côte, c’est aussi une planification en vue de quelque chose de plus grand, un moyen en vue d’une fin, des efforts qu’on fait pour moins en baver le jour J. En d’autres termes, un truc de pervers narcissique.
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