Se palucher pour courir plus vite, c’est scientifiquement prouvé.
Afficher votre amour du running
Se palucher pour courir plus vite
On a beaucoup devisé sur les rapports entre éjaculation et absence de courbatures, mais nous n’avions pas encore étudié le lien entre le plaisir et l’effort. Tout cela vient d’une étude mise en avant par l’institut américain de sondage Uninvia. Les chercheurs y ont fait deux groupes ; grossièrement ceux qui se frottent à tout ce qui bouge et les autres. En parallèle à cela, ils leur ont posé des questions sur leurs postes, leurs salaires, leurs scores sur trail court, moyen et long. Les conclusions ont été sans appel.
Meilleure santé mentale chez les gens qui se paluchent
Sur les 1012 personnes interrogées, la majorité de ceux qui se frottent à tout ce qui bouge avaient les meilleurs temps sur ultra. Comment expliquer cela ? L’explication principale à cette réussite peut être liée à la santé mentale. En effet, au cas où vous ne le savez pas (ou si vous ne vous en êtes pas aperçus), la masturbation rend zen, réduit le stress, allège (pour certains) et permet, in fine, d’améliorer la confiance en soi et l’estime de soi.
En soi, ça ne vous rendra pas plus fort ou plus fortes, en revanche, ça vous donnera la flamme et vous aidera à comprendre que vous êtes capables de soulever des montagnes (ou a minima de les grimper si vous faites de l’ultra).
Il faut se masturber beaucoup pendant la phase d’affutage
Alors que faire ? Eh bien à chaque fois que vous avez un ultra de prévu, à la grosse louche à partir du moment où vous arrêtez de courir pour faire du jus, commencer à vous tortiller la chipolata (pour faire du jus aussi). Et quand vous arrêter ? A partir du moment où vous commencez à éjaculer en poudre, on va dire. Alors là, c’est le podium assuré !
FAQ
Est-ce que c’est vrai ?
Non, c’est un Goratrail. Autrement dit : une grosse blague montée de toutes pièces, avec un faux institut, de fausses données et une conclusion qui ferait rougir n’importe quel scientifique sérieux. Rien de prouvé, rien de réel, juste de l’humour trail façon info parodique.
Alors pourquoi certains y croient ?
Parce que le sport, c’est aussi du mental. Se détendre avant une course peut donner l’impression de mieux performer. Et puis dans le monde du trail, on adore inventer des rituels bizarres.
Est-ce que ça peut aider à récupérer ?
Indirectement oui : un orgasme libère des endorphines et de la dopamine, ce qui peut aider à mieux dormir et à réduire le stress. Or, un bon sommeil, c’est la base d’une bonne récup.
Est-ce que ça fait perdre de l’énergie ?
Pas vraiment. Une séance de plaisir solitaire, ça brûle une centaine de calories au maximum, donc l’équivalent d’un petit footing de cinq minutes. Rien qui ruine une prépa d’ultra.
Est-ce que c’est conseillé avant une compétition ?
La science dit : ni bénéfice, ni inconvénient. Donc si ça te détend, pourquoi pas. Si au contraire ça te fatigue ou te déconcentre, tu t’abstiens. C’est une affaire de routine personnelle, pas de règle universelle.
Est-ce qu’il faut le faire pendant la phase d’affûtage ?
Seulement si ça t’aide à être zen. L’affûtage, c’est surtout réduire le volume d’entraînement et optimiser ton sommeil, pas chercher un record sur la paluche.
Est-ce que ça améliore la santé mentale ?
Oui, clairement. C’est prouvé que ça réduit le stress, que ça améliore la confiance en soi et l’humeur. Mais ce n’est pas magique non plus : pour être bien dans ta tête en trail, il faut aussi de l’entraînement, des copains et un bon ravito.
Est-ce que les champions le font ?
On ne sait pas, et franchement ça ne regarde qu’eux. Mais on peut imaginer que dans un sport où certains se dopent à l’EPO, d’autres se contentent d’une méthode plus… artisanale.
Est-ce qu’on peut vraiment gagner un podium grâce à ça ?
Non, sinon tout le peloton se retrouverait aux toilettes avant le départ. Les podiums se gagnent avec des kilomètres dans les jambes, pas avec la main.
Verdict final ?
La masturbation ne te rendra pas plus rapide, mais elle ne te freinera pas non plus. C’est comme les chaussettes de compression : certains y croient dur comme fer, d’autres pas du tout. Si ça te fait du bien, fais-le, mais ne mise pas ton chrono là-dessus.