Qui n’a pas connu le mur du marathon ? Celui qui intervient ou qui peut intervenir du 32 ième km au 35 ième km, la panne sèche ! Sensations totalement bizarres, l’impression de ne pas avancer, c’est horrible et tout marathonien l’a connu ou le connaitra un jour ou l’autre sur une compétition.
Alors on se demande que faire ? Comment l’éviter ? Ca sera le sujet d’un autre article, mais je tenais à vous donner un conseil…
Surveillez donc votre fréquence cardiaque pendant un marathon, jetez un œil de temps en temps et vérifiez la dérive. Une dérive lente est tout à fait normale, c’est ce qu’on appelle la dérive cardiaque.
Par contre si votre fréquence cardiaque s’envole d’un coup, ralentissez pour retrouver votre FC de course, vous perdrez en vitesse certes mais vous éviterez ce fameux mur du marathon, et croyez moi la perte de vitesse à ce moment là sera bien plus importante que celle légère que vous adopterez pour éviter l’emballement des FC.