Se masturber pour courir plus vite, c’est scientifiquement prouvé.
On a beaucoup devisé sur les rapports entre éjaculation et absence de courbatures, mais nous n’avions pas encore étudié le lien entre le plaisir et l’effort. Tout cela vient d’une étude mise en avant par l’institut américain de sondage Uninvia. Les chercheurs y ont fait deux groupes ; grossièrement ceux qui se frottent à tout ce qui bouge et les autres. En parallèle à cela, ils leur ont posé des questions sur leurs postes, leurs salaires, leurs scores sur trail court, moyen et long. Les conclusions ont été sans appel.
Meilleure santé mentale chez les gens qui se masturbent
Sur les 1012 personnes interrogées, la majorité de ceux qui se frottent à tout ce qui bouge avaient les meilleurs temps sur ultra. Comment expliquer cela ? L’explication principale à cette réussite peut être liée à la santé mentale. En effet, au cas où vous ne le savez pas (ou si vous ne vous en êtes pas aperçus), la masturbation rend zen, réduit le stress, allège (pour certains) et permet, in fine, d’améliorer la confiance en soi et l’estime de soi.
En soi, ça ne vous rendra pas plus fort ou plus fortes, en revanche, ça vous donnera la flamme et vous aidera à comprendre que vous êtes capables de soulever des montagnes (ou a minima de les grimper si vous faites de l’ultra).
Il faut se masturber beaucoup pendant la phase d’affutage
Alors que faire ? Eh bien à chaque fois que vous avez un ultra de prévu, à la grosse louche à partir du moment où vous arrêtez de courir pour faire du jus, commencer à vous tortiller la chipolata (pour faire du jus aussi). Et quand vous arrêter ? A partir du moment où vous commencez à éjaculer en poudre, on va dire. Alors là, c’est le podium assuré !
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