entrainement trail en ville
Vous voulez vous préparer au mieux pour un trail avec beaucoup de dénivelé et plein de belles montagnes autour de vous ? Mais c’est trop bien ! Le seul problème, c’est que le seul truc qui aie du dénivelé à côté de chez vous, c’est le tas de fringues dans le dressing de votre tendre moitié, ou encore votre voisin.e obèse (l’écriture inclusive étant ici destinée à faire comprendre que je ne fais pas de distinction de genre et que je déteste tout le monde avec une parfaite égalité). Alors, comment est-ce qu’on peut faire pour préparer son trail en ville ? Comment essayer de se retrouver dans les conditions les moins éloignées de la montagne ? Nous vous donnons ici cinq conseils.
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5 manières de faire votre entrainement trail en ville
1) Les escaliers
Il n’y a rien à faire, ça fait partie de ce qu’il y a de plus efficace. En cherchant bien, on peut en trouver dans bien des communes. Ce que vous pouvez faire, c’est (selon le nombre de volées d’escaliers que vous avez à votre disposition), alterner entre monter une marche à la fois en courant, en marchant trois marches par trois, et enfin en marchant en montée, puis en courant en descente (ça vous apprendra à récupérer en montée et à descendre un peu plus vite).
2) Le fractionné en côtes
Idem, des petites côtelettes, ça peut se trouver quasiment partout. Ici, le mieux (on ne va pas réinventer la roue), c’est de sprinter en montée et de récupérer en descente. En général, on cherchera une côte où il est possible de sprinter pendant deux minutes maximum.
3) Les côtes à cloche-pied
Ça peut paraître saugrenu, mais c’est un exercice que François d’Haene m’avait fait faire il y a quelques années ; l’idée est ici de prendre la même côte que précédemment, de faire 50 pas à cloche-pied, puis de finir en sprintant. Je vous confirme que ça pique et que c’est efficace
4) La variation des surfaces
Ici, le mieux, c’est de trouver un parc ; ainsi, vous pourrez courir sur du bitume, sur de la terre battue, sur des copeaux de bois, en forêt, sur de l’herbe. L’idée est ici de varier les surfaces un maximum pour préparer vos chevilles et vous habituer à devoir changer vos appuis en permanence.
5) Profiter du week-end pour partir un peu plus loin
Enfin, ça, c’est pour le week-end et les sorties longues. Ça peut valoir le coup de vous éloigner un peu de chez vous pour aller en nature et vous éclater un peu, en courant dans des conditions qui pourront se rapprocher un peu de ce que vous aurez le jour J. A titre d’exemple, si vous êtes en région parisienne, les forêts du Vexin, de Rambouillet ou de Fontainebleau peuvent faire le boulot.
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