Casquette Verte, une ambition assumée : top 30 (voire mieux) sur la TDS
À quelques semaines du départ de la TDS 2025, Casquette Verte partage ses impressions après plusieurs jours de reconnaissance sur le terrain. Le ton est à la fois sérieux et modeste. Il ne s’en cache pas : la TDS est un morceau impressionnant, qui nécessite bien plus qu’un entraînement physique solide.
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Casquette Verte au sujet de la TDS
🗣️ « Je ne la maîtrise pas. Et je serai très loin de la maîtriser dans 3 semaines. »
Pour autant, pas de défaitisme. Alexandre Boucheix annonce viser un top 30, avec l’idée qu’un top 20 ou un chrono autour de 22 heures seraient synonymes de retour à son meilleur niveau. Un objectif clair, chiffré, et surtout mesuré à l’aune de la réalité du terrain.
Une course « sauvage », « complexe » et « fracturée »
Dans un long post Facebook publié le 6 août, Casquette Verte détaille ce qui fait, selon lui, la particularité du parcours TDS :
« Elle n’est pas technique. Elle est sauvage.
Elle n’est pas lisible. Elle est complexe.
Elle n’est pas une simple course. Elle est une épreuve de gestion. »
Le message est limpide : la TDS ne se court pas comme un ultra classique. Elle se « gère », se « décrypte », se « subit parfois », et demande une énorme lucidité. Parmi les éléments qui l’inquiètent : la casse musculaire des descentes, certains passages peu « francs du collier », et le risque que la météo force un parcours raccourci qui obligerait à courir plus vite.
De la Seine-Saint-Denis à la haute montagne
Comme souvent, Casquette Verte mêle son analyse à une dimension plus personnelle. Il évoque ses entraînements en Île-de-France, dans le parc des Guilands, avec 27 m D+ au tour, et revendique une approche atypique de l’ultra.
« Cette TDS, je la veux ‘made in 93’. Pour me prouver qu’il est possible de réaliser des choses en ultra, même en s’y préparant uniquement dans une côte de 27 mètres de dénivelé dans un parc de Seine-Saint-Denis. »
Ce positionnement, à mi-chemin entre le défi personnel et le message collectif, fait mouche auprès de ses abonnés.
Une communauté engagée, entre soutien et anecdotes
Sous ses publications, on retrouve de nombreux commentaires, dont plusieurs de traileurs expérimentés. Certains saluent son courage, d’autres partagent leurs propres galères sur la TDS, d’autres encore évoquent la présence de Ludovic Pommeret sur le même tronçon de reco.
« Tu me fais flipper du coup 😬😂 »
« Une très grosse préparation impressionnante. Bravo. »
« Elle permet d’accélérer… pour mieux le regretter. »
Casquette Verte, lui, prend le temps de répondre, avec humour et une pointe d’autodérision.
Et si cette lucidité faisait toute la différence ?
Au fond, ce que révèle cette préparation, c’est peut-être une chose : Casquette Verte ne cherche pas à impressionner, mais à être prêt. Il n’en fait pas trop, il n’en fait pas peu. Il regarde la course avec honnêteté et stratégie, deux qualités indispensables pour performer sur un ultra aussi redoutable que la TDS.
Résumé
Casquette Verte (Alexandre Boucheix) s’attaque à la TDS 2025 avec un objectif ambitieux mais réaliste : viser un top 30. Après plusieurs jours de reconnaissance sur le parcours, il partage ses impressions sans langue de bois. Il décrit une course sauvage, complexe, exigeante physiquement et mentalement. Loin de fanfaronner, il assume ne pas « maîtriser » ce tracé et prépare sa stratégie avec lucidité. Un message qui suscite le respect et le soutien de la communauté trail, alors que la TDS 2025 s’annonce comme l’un des ultras les plus redoutés de l’année.
Source
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🛡️ Mentions éditoriales de prudence
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Cet article se base exclusivement sur des publications publiques rendues accessibles par leur auteur, dans le cadre d’un échange communautaire sur les réseaux sociaux. Il ne constitue ni une attaque, ni une satire, ni une interprétation psychologique. Il s’inscrit dans un traitement d’actualité et de réflexion autour de la préparation à la TDS.
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