Afin de pouvoir contribuer au ralentissement du réchauffement climatique (notamment de ses impacts absolument catastrophiques sur la montagne), le monde du trail a décidé de ne pas se croiser les bras. Des détecteurs de flatulence seront installés sur tous les trails qui auront a minima un passage au-dessus de 2200 mètres.
Le problème du méthane
L’idée est partie du constat que le méthane a un impact cataclysmique sur la faune et la flore, mais aussi sur les glaciers. En parallèle, plusieurs organisations de trail ont remarqué que les coureurs ayant tendance à manger comme des gorets quand ils vont se ravitailler, forcément, ils auront plus de gaz à évacuer.
Ils auraient pu choisir de proposer une nourriture de meilleure qualité, mais le syndicat des coureurs n’y était pas favorable, estimant que les dossards étaient déjà assez chers comme ça et que ça aurait des conséquences sur les tarifs. En soi, ça peut s’entendre, mais la qualité de l’air, ça ne se monnaie pas.
Points de pénalité
Les organisations ont donc décidé d’installer des détecteurs de méthane sur les parcours et de sanctionner les coureurs qui pèteraient un peu trop régulièrement, notamment avec des minutes de pénalité. Il faudra donc intégrer tout cela dans votre stratégie et votre gestion de course.
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