Jean-Michel Gourdin, 29 ans, a décidé de tenter l’impossible : courir 600 km en moins de 24 heures. Le parcours, soigneusement planifié par ses soins, s’étend de Chamonix aux Pyrénées, en passant par La Rochelle et pour finir, bien entendu, sur la montagne Sainte-Victoire. Oui, vous avez bien lu : 600 km en une seule journée, sans aucune assistance.
il va courir 600km pour la science
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courir 600km équipé d’un exosquelette de pointe
Pour maximiser ses chances de réussir, Jean-Michel a choisi un exosquelette de dernière génération, inspiré de ceux utilisés par les militaires. “Cet exosquelette est spécialement conçu pour supporter les longues distances et m’aider à courir 25 km/h de moyenne sans me fatiguer !”. Toutefois, Jean-Michel précise qu’il n’a aucun soutien technique.
“Je pars seul, c’est un défi de l’esprit et du corps !”, déclare-t-il avec un sérieux inébranlable.
Un entraînement… minimaliste ?
Malgré la grandeur de son défi, Jean-Michel n’a commencé la course que quatre mois auparavant.
“Je suis monté progressivement. Au début, je faisais des joggings de 5 km autour de chez moi”, explique-t-il. Ensuite, il a accéléré le rythme : “J’ai augmenté à 10 km par semaine, puis j’ai carrément décidé de m’inscrire à un semi-marathon où j’ai terminé… avant-dernier.”
Sa préparation, unique en son genre, inclut également des sessions intensives de respiration et des cours de méditation “pour rester concentré”.
Des études scientifiques “prouvent” que c’est possible !
Des chercheurs fictifs de l’Université d’Endurance de Saint-Remèdes ont affirmé dans une étude que courir 600 km en 24 heures est tout à fait envisageable.
“L’essentiel, c’est de penser que c’est possible”, déclare le professeur imaginaire Jacques Rêvelé. Selon lui, Jean-Michel est une chance unique pour la science : “Son exploit va nous en apprendre plus sur les limites humaines, et sur l’endurance du corps équipé d’un exosquelette.”
Un exploit au service de la science
Jean-Michel ne fait pas cela que pour la gloire.
“Si je réussis, ce sera une percée pour la recherche. Peut-être qu’un jour, les gens pourront traverser la France en courant sans s’arrêter !”
affirme-t-il, les yeux pleins d’étoiles (et d’ampoules potentielles). Des scientifiques fictifs prévoient d’ailleurs d’analyser ses relevés cardiaques et respiratoires pour faire avancer la recherche sur l’endurance humaine et la technologie d’assistance musculaire.
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