La “vie normale” reprend son cours avec toutes les activités culturelles et sportives mais les sportifs ont changé leurs habitudes. Les organisateurs doivent faire preuve de plus d’imagination.
Après deux années blanches du trail, la crise sanitaire n’est pas sans conséquence sur le monde associatif. Il faut remonter la pente, remobiliser les bénévoles, remplir les caisses après tous les remboursements et convaincre les athlètes de revenir. Ils ont prix goût à courir gratuitement.
Tout cela est particulièrement vrai dans le trail. C’est un sport qui peut s’avérer dangereux. Les courses de montagne exigent de gros moyens, humains et financiers.
Bénévoles
Beaucoup de bénévoles font autres choses et se sont tournés vers d’autres causes.
Traileurs
Les participants eux ont connu beaucoup d’annulation de dernière minute et ont du mal à revenir sur les courses officielles. Ils ont pris l’habitude de courir en OFF… et quand ils viennent courir, sur les petites courses, ils attendent maintenant le dernier moment pour s’inscrire.
Caisses
Après deux années blanches, les caisses des associations sont vides et l’inflation est passée par là. Il est difficile d’augmenter le prix des dossards plus et de couvrir les frais.
Lire aussi
- MCC : la course qui fait payer les bénévoles de l’UTMB
- Agression sur le cross du Mont Blanc
- Spectacles de 5000 personnes autorisés mais trails encore annulés avec pas même 300 participants
- INCOMPRÉHENSION : Castex dit qu’il ne faut pas mettre notre vie sociale et culturelle ( ) mais les préfets interdisent le trail
- Comment le couvre-feu à 18 h va compliquer la vie des coureurs et des traileurs ?
- Confinement TOTAL : comment faire son sport à la maison et ne pas devenir fou ?
- Le trail le plus difficile de France est…