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Dopage : un simple médicament contre le rhume peut faire tomber un traileur

21 novembre 2025
dans Santé
Actifed Rhume

Médicaments contre le rhume et trail : ce qu’il faut vraiment savoir


Attention au dopage en hiver

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  • Le rhume : un virus banal… mais pas neutre pour le corps
    • Conséquences typiques :
    • Ce que les médicaments peuvent (et ne peuvent pas) faire
  • Les médicaments du rhume : panorama des molécules souvent prescrites
    • Antalgiques / antipyrétiques
      • Paracétamol
      • Pour le traileur :
      • AINS (ibuprofène, kétoprofène…)
    • Décongestionnants vasoconstricteurs, attention au dopage
      • Pseudoéphédrine (voie orale)
      • Mécanisme :
      • Pour un traileur :
    • Sprays nasaux vasoconstricteurs (oxymétazoline, xylométazoline…)
      • Problèmes principaux :
    • Antihistaminiques
    • Antitussifs
      • Sur un trail :
    • Expectorants / mucolytiques
    • Corticoïdes locaux (sprays nasaux)
    • Les médicaments combinés : le vrai piège du rayon «rhume»
      • Risques spécifiques :
  • Sprays vasoconstricteurs : pourquoi ils peuvent entraîner une dépendance
    • À retenir
  • Médicaments et trail : quand le contexte change tout
    • Courir malade : le corps est déjà en surcharge
      • Une infection virale entraîne :
      • L’effort vient s’ajouter à cette surcharge :
  • Options non médicamenteuses utiles et compatibles avec le trail
  • En résumé, à retenir pour un traileur
  • Lire d’autres sujets que le dopage

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Courir avec le nez bouché, la gorge qui gratte et la tête dans le coton, c’est un grand classique de l’hiver pour tous les traileurs. Un petit spray nasal, un cachet « rhume »… et on pense pouvoir s’aligner sans souci. Erreur. Certains de ces médicaments en apparence anodins peuvent non seulement masquer les signaux de fatigue, mais surtout vous exposer à un contrôle antidopage positif, même en amateur. Et dans un sport comme le trail, où l’intégrité est une valeur cardinale, ça peut faire très mal.

 

Le rhume : un virus banal… mais pas neutre pour le corps

 

Le rhume, ou rhinopharyngite aiguë, est causé par des virus (rhinovirus, coronavirus saisonniers, adénovirus, etc.). L’infection démarre sur les muqueuses du nez et de la gorge, mais la réponse immunitaire est systémique : le corps entier se met au travail.

Conséquences typiques :

  • Inflammation des muqueuses → nez bouché, écoulements, gorge irritée ;
  • Libération de cytokines → fatigue, courbatures, parfois petite fièvre ;
  • Dérèglement transitoire du sommeil, de l’appétit, de la variabilité cardiaque.

Autrement dit : même si les symptômes semblent localisés au nez, toute la machine est impactée. Pour un traileur, ça compte.

 

La fièvre modérée augmente l’efficacité de certaines réponses immunitaires. L’obstruction nasale est liée à une vasodilatation locale qui permet un afflux de cellules immunitaires. La fatigue pousse au repos.

Ces symptômes ne sont pas « des ratés que l’on doit effacer à tout prix », mais des indicateurs de l’état du corps.
Les médicaments du rhume ne « guérissent » pas le virus. Ils modifient la perception et certains effets de cette réponse.

Ce que les médicaments peuvent (et ne peuvent pas) faire

  • Ils peuvent soulager : douleur, gêne nasale, toux, inconfort.
  • Ils peuvent améliorer le confort au quotidien ou permettre de dormir.
  • Ils ne réduisent que très peu, voire pas du tout, la durée de l’infection pour la plupart.
  • Ils ne « rendent pas le corps normal » pour l’effort : la charge virale et la réponse immunitaire restent là.

Pour un traileur, la question devient donc :
est-ce raisonnable de courir avec un corps déjà sous contrainte + des médicaments qui modifient les signaux ?

 

 

Les médicaments du rhume : panorama des molécules souvent prescrites

 

Antalgiques / antipyrétiques

 

Paracétamol

En France, le paracétamol est l’antalgiques de référence pour douleurs et fièvre légères à modérées, largement utilisé et recommandé dans ce contexte.

Bien utilisé (dose et intervalle respectés, pas d’alcool, pas d’insuffisance hépatique), ses effets indésirables sont rares.

Pour le traileur :

  • Avantage : n’augmente pas la fréquence cardiaque, pas d’effet rénal direct ;
  • Limite : masque la fatigue, les courbatures et la fièvre → on peut se croire plus en forme qu’on ne l’est réellement.

 

AINS (ibuprofène, kétoprofène…)

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) soulagent douleurs et inflammation. Mais en contexte d’effort prolongé, la littérature met en avant :

  • Un risque accru d’atteinte rénale aiguë lorsqu’ils sont pris avant ou pendant des ultra-marathons, avec plus de cas et de sévérité sous ibuprofène que sous placebo dans certains essais.
  • Des interactions possibles avec l’équilibre hydrique et sodé, ce qui compte en ultra (hyponatrémie, déshydratation) ;
  • La possibilité d’une aggravation de certaines infections.

Au total : on n’a pas besoin d’AINS pour courir, et le bénéfice potentiel ne justifie pas les risques, surtout en état infectieux.

 

Décongestionnants vasoconstricteurs, attention au dopage

 

Pseudoéphédrine (voie orale)

Les médicaments par voie orale à base de pseudoéphédrine (Actifed Rhume®, Dolirhume®, Humex Rhume®, Nurofen Rhume®, etc.) ont été requalifiés en France en 2024 : ils ne sont plus disponibles sans ordonnance, en raison de risques cardiovasculaires et neurologiques (AVC ischémiques et hémorragiques, syndromes coronariens aigus).

Mécanisme :

  • Vasoconstriction des vaisseaux de la muqueuse → nez débouché ;
  • Effet systémique sympathomimétique → hausse de la pression artérielle, de la fréquence cardiaque, possible agitation ou insomnie.

Sur le plan antidopage, la pseudoéphédrine est interdite en compétition au-delà d’un certain seuil urinaire (150 µg/mL) selon la Liste des interdictions de l’AMA.
Des prises thérapeutiques proches d’une compétition peuvent, chez certains individus, approcher ou dépasser ce seuil.

Pour un traileur :

  • FC et tension déjà augmentées par le virus → on ajoute une couche ;
  • Hydratation et équilibre cardio-vasculaire sollicités en effort prolongé ;
  • Risque réglementaire (contrôle antidopage).

C’est clairement une mauvaise candidate pour accompagner un effort d’endurance.

 

Sprays nasaux vasoconstricteurs (oxymétazoline, xylométazoline…)

Ces sprays ont une action locale rapide et efficace pour quelques heures.

Problèmes principaux :

  • Usage recommandé 3 à 5 jours maximum ;
  • Au-delà, risque de rhinite médicamenteuse : rebond congestif lié à l’usage prolongé, bien décrit en ORL et dans les revues médicales.

On y reviendra dans l’encadré ci-dessous, car la dimension « dépendance au nez libre » est très fréquente chez les sportifs.

 

 

Antihistaminiques

  • Antihistaminiques dits « de 2e génération » (cétirizine, desloratadine, fexofénadine…) : peu ou pas sédatifs, utiles surtout en cas de composante allergique (rhinite allergique).
  • Anciennes molécules (dexchlorphéniramine, etc.) : plus sédatives, bouche sèche, baisse de la vigilance.

Dans un rhume viral banal, sans allergie associée, l’intérêt est modeste.
Pour un traileur, le principal enjeu : somnolence et altération de la vigilance en cas de molécule sédative.

 

Antitussifs

  • Dextrométhorphane : antitussif central non opioïde.
  • Codéine : désormais plus strictement encadrée, effets opioïdes (somnolence, ralentissement).

Ils peuvent réduire une toux sèche très invalidante, parfois utile pour dormir.

Sur un trail :

  • On préfère éviter tout produit qui altère la vigilance ou les réflexes, surtout de nuit ou sur terrain technique ;
  • Ils ne résolvent pas la cause de la toux (inflammation, irritation, infection).

 

Expectorants / mucolytiques

Acétylcystéine, carbocistéine, etc.

  • Efficacité clinique modérée, mais tolérance globalement bonne ;
  • Peuvent fluidifier les sécrétions en cas de toux productive.

Ils n’ont pas de rôle spécifique en course à pied, mais ne posent pas, à dose usuelle, de problème majeur pour l’effort. Ils n’effacent pas non plus l’impact d’une infection sur le système cardio-respiratoire.

 

Corticoïdes locaux (sprays nasaux)

Budesonide, fluticasone, béclométasone…

  • Affet anti-inflammatoire local ;
  • Utiles pour rhinites allergiques ou inflammatoires chroniques ou sévères.

Ils ne sont pas des traitements standard du rhume banal, mais peuvent être introduits par un médecin en cas de rhinite rebelle ou de rhinite médicamenteuse. Leur impact systémique, aux doses usuelles, est faible.

 

Les médicaments combinés : le vrai piège du rayon «rhume»

Actifed Rhume®, Fervex®, Dolirhume Pro®, Humex Rhume®…
Ces spécialités associent plusieurs molécules : paracétamol + pseudoéphédrine + antihistaminique, ou équivalents.

Risques spécifiques :

  • On ne sait plus exactement ce qu’on prend : un comprimé = 3 ou 4 substances actives ;
  • Surdosage involontaire en paracétamol, si on cumule avec un autre antalgique contenant déjà du paracétamol (situation fréquente) ;
  • Effets combinés sur la vigilance, la tension, la fréquence cardiaque.

Pour un sportif, c’est le cocktail idéal pour perdre la lisibilité des signaux du corps : on mélange plusieurs classes de médicaments au moment où on aurait besoin au contraire de voir clair.

 

Sprays vasoconstricteurs : pourquoi ils peuvent entraîner une dépendance

Les sprays décongestionnants à base de vasoconstricteurs locaux (xylométazoline, oxymétazoline, naphazoline) soulagent rapidement l’obstruction nasale. Leur efficacité immédiate crée une forte satisfaction, mais ce soulagement s’accompagne d’un risque bien connu : la rhinite médicamenteuse, un phénomène de dépendance physiologique et comportementale.

Ces sprays provoquent une contraction des vaisseaux de la muqueuse nasale. Lorsque l’effet disparaît, les vaisseaux se redilatent au-delà de leur état initial, entraînant une congestion plus marquée qu’avant la prise. Si cette séquence se répète, la muqueuse perd sa capacité à réguler son propre tonus vasculaire. Le nez « se rebouche » de plus en plus vite, et l’utilisateur augmente naturellement la fréquence des pulvérisations. C’est le cœur de la rhinite médicamenteuse.

Il ne s’agit pas d’une addiction classique : il n’y a pas de circuit dopaminergique de récompense comme avec les drogues. Le problème est double :
– Tolérance physiologique : la muqueuse devient progressivement insensible aux faibles doses ;
– Dépendance comportementale : la personne s’habitue à respirer « à plein calibre » et redoute la sensation d’obstruction.

Les traileurs sont particulièrement vulnérables
Le besoin de respirer librement est ressenti comme indispensable lors d’un effort prolongé, surtout par temps froid ou sec. Beaucoup de coureurs associent le spray à la sensation de performance : « si je respire mal, je vais mal courir ». En réalité, cette aide artificielle n’améliore pas la physiologie de l’effort et peut instaurer un automatisme : sortie = spray, même en dehors d’un vrai rhume.

À retenir

Les sprays vasoconstricteurs sont utiles trois à cinq jours maximum. Au-delà, ils entretiennent une congestion de rebond et peuvent créer une dépendance d’usage. Chez les sportifs d’endurance, ce risque est accentué par la recherche d’un confort respiratoire immédiat, qui peut finalement dégrader la qualité de l’entraînement plutôt que l’améliorer.

 

 

 

Médicaments et trail : quand le contexte change tout

Courir malade : le corps est déjà en surcharge

 

Une infection virale entraîne :

  • Une augmentation de la fréquence cardiaque de repos ;
  • Une baisse de la variabilité cardiaque (HRV) ;
  • Une perturbation de la thermorégulation ;
  • Une fatigue plus rapide.

L’effort vient s’ajouter à cette surcharge :

  • Le cœur travaille plus vite pour la même allure ;
  • L’effort perçu peut sembler «supportable», mais la récupération sera plus longue ;
  • Le risque de complications (bronchite, sinusite, parfois myocardite) augmente, même si ces complications restent rares.

 

Ainsi courir en ayant une infection virale ne semble pas être une très bonne idée. Pourtant il semble exagéré d’interdire toute activité pour un simple rhume. On donne parfois comme règle empirique en médecine du sport la « règle des clavicule ».

  • Symptômes au-dessus des clavicules (nez, gorge, sinus → sans fièvre) : éventuellement OK pour footing léger.
  • Symptômes en dessous (toux profonde, bronchique, dyspnée, douleurs musculaires diffuses, fièvre) : non.

→ C’est une règle simple, mais pas toujours suffisante quand le sportif prend des médicaments qui modifient les signaux physiologiques.

Options non médicamenteuses utiles et compatibles avec le trail

Ce sont elles qui devraient former le socle de la prise en charge pour un traileur.

  • Lavage nasal au sérum physiologique (spray, pipette, douche nasale) : améliore vraiment la clairance des sécrétions, réduit la charge virale locale, soulage sans effet systémique.
  • Hydratation adaptée : boire suffisamment, surtout si fièvre ou transpiration importante.
  • Repos relatif : alléger les intensités, privilégier des footings très faciles, voire du repos complet sur quelques jours selon les symptômes.
  • Adaptation à l’environnement : éviter les sorties longues par temps très froid et sec qui irritent les voies respiratoires.
  • Suivi des constantes personnelles : FC au repos, ressentis, qualité du sommeil. Cela donne une image plus fiable de l’état de forme que la simple envie de courir.

En résumé, à retenir pour un traileur

  1. La plupart des médicaments du rhume ne changent pas fondamentalement le fait que tu es malade. Ils améliorent le confort, pas la physiologie d’effort.
  2. Deux grandes familles posent des problèmes clairs en trail :
    • Les décongestionnants systémiques à base de pseudoéphédrine (risques cardio + dopage + réglementation récente en France)
    • Les AINS (ibuprofène, kétoprofène) en contexte d’effort prolongé, surtout en ultra, avec un signal de risque rénal et d’effets indésirables.
  3. Les sprays nasaux vasoconstricteurs sont efficaces… quelques jours. Au-delà, ils entretiennent une rhinite médicamenteuse et une dépendance à la sensation de « nez libre ».
  4. Le paracétamol reste l’option la plus neutre pour soulager un peu, mais il peut encourager à « faire comme si de rien n’était » alors que le corps est sous-optimal.
  5. La vraie décision à prendre n’est pas « quel médicament pour courir quand même ? » mais « dans quel état réel est mon organisme, et quelle est la meilleure décision à moyen terme pour ma santé et ma saison ? ».
Auteur : Alban Grivel, Docteur et ultra-traileur

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Tags: dopagerhumeAuteur Alban Grivel
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