Le couvre-feu a déjà été établi à 18 heures avec l’interdiction de courir et de faire son footing.
Découvrez les nouveaux départements qui pourraient y passer dès le 7 janvier.
MISE À JOUR 14 JANVIER
OFFICIEL : couvre-feu à 18h partout dès samedi 16 janvier
Comprendre le couvre-feu à 18 heures
Le couvre-feu de 20 heures est devenu plus restrictif pour 15 départements en passant à 18 heures. La situation sanitaires semble se dégrader dans d’autres endroits en France. Découvrez les départements qui pourraient y passer le 7 janvier.
Une nouvelle extension ? Si la France entière est sous couvre-feu entre 20 heures et 6 heures du matin,
Les 15 départements déjà concernés par l’interdiction de courir entre 18 heures et 6 heures
Couvre-feu à 18 heures déjà mis en place pour les départements ci dessous
-les Hautes-Alpes,
-les Alpes-Maritimes,
-les Ardennes,
-le Doubs,
– le Jura,
– la Marne,
– la Haute-Marne,
– la Meurthe-et-Moselle,
– la Meuse,
– la Haute-Saône,
– les Vosges,
– le Territoire de Belfort,
– la Moselle,
– la Nièvre
– et la Saône-et-Loire.Deux critères ont été fixés par le ministère de la Santé pour élaborer la liste : un taux d’incidence supérieur à 200 et/ou un taux d’incidence des personnes âgées supérieur à 200.
Dépendant du taux d’incidence dépassant les 200 sur les 7 derniers jours (du 26 décembre au 1ᵉʳ janvier) :
Couvre-feu à 18 heures. Les sept autres départements qui pourraient y passer sont donc :
– Orne – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 193,2
– Côte-d’Or – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 197,6
– Bouches-du-Rhône – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 198,2
– Haut-Rhin – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 201,1
– Haute-Savoie – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 201,7
– Cher – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 203,4
– Allier – Taux d’incidence pour 100 000 habitants : 212,5
Le jeudi 7 janvier, les mesures sanitaires vont être réétudiées par le gouvernement. “Si la situation était amenée à se dégrader davantage dans certains territoires, on prendra les décisions qui s’imposent”, avait averti Gabriel Attal le vendredi 1ᵉʳ janvier