U-trail, média « populaire » à fort traffic parfois dans le domaine de l’outdoor, peut utiliser sa notoriété pour faire connaitre les cas de disparition non résolus en cours. Afin que « au cas où » le public puisse donner des pistes, ou tout ce qui pourrait aider les enquêteurs. Sur cette page on décrira au fur à mesure les cas suivis actuellement
Quelques disparitions dans le domaine du trail et de la randonnée.
Disparition d’Alexia
Ce cas de disparition est malheureusement résolu ce jour (le corps est bien celui de la joggeuse), il fait l’objet d’un article avec tous les détails ici
Cas de Mathieu Caizergue
Jeune Gendarme à la Réunion, il part avec 2 collègues en mode rando dans Mafate pour la journée. Ce 23 juin 2017, dans la montée de Maïdo il dit à ses copains de partir devant, car il se serait cogné la tête. Ils ne le reverront plus.
- Les deux camarades arrivent à 17h au sommet et à 20h30 signale la disparition.
- Ils seront entendu par la gendarmerie, « on dit » qu’ils ne sont pas très clairs dans leurs déclarations.
cf (source facebook Lieutenant de police C.B.):
Des échanges sur SnapchatSelon les déclarations de ses deux compagnons, chacun marchait à son rythme. Le point de rendez-vous avait été fixé sur un parking situé à une demi-heure marche du lieu où Mathieu Caizergues a été vu pour la dernière fois par ses amis. Le jeune homme n’est jamais arrivé sur le parking. En fin d’après-midi il aurait envoyé à ses proches un snapchat le montrant avec une grosse bosse à la tête, laissant supposer qu’il avait fait une chute.
L’un de ses deux compagnons de randonnée affirme que le jeune homme lui a téléphoné, toujours en fin d’après-midi, pour lui dire que tout allait bien.Les deux amis n’auraient pu alerter les secours qu’en début de soirée, une fois de retour en ville, car la batterie de leurs téléphones portables était déchargée. «Pourquoi avoir tardé alors que Mathieu Caizergues était seul dans la montagne et que sa position de deuxième était synonyme de détresse et probablement d’accident (faute d’échappatoire sur le sentier) ?», les gendarmes de l’île de La Réunion, qui qualifie cette disparition d’«incroyable énigme».
- Les recherches ne donnent rien malgré un important dispositif et même l’envoi de chiens plus tard.
- Rebondissement le 9 septembre, des gens qui picniquent sur les crêtes de Saint Joseph affirme avoir reconnu le jeune homme, barbu, venu demander de l’eau. En repartant, les gens l’interpellent « Hé , Mathieu », et l’individu se retourne pour faire un signe de main.
- Fin septembre, un homme vient a la gendarmerie, déclarer que c’est lui qu’on a confondu.
- Fin octobre, pendant le Grand Raid, personne ne voit le disparu.Matthieu est-il toujours vivant ? S’est-il fait un traumatisme et est tombé dans une ravine la nuit venue vers 18h ? Se cache-t-il ? (Pour information, il est possible en se cachant activement de rester dans la nature, voir l’histoire de cet homme Germain Vitalis de 56 ans qui a vécu comme un ermite pendant 163 jours ans le parc de la Sainte-Victoire en Provence).
Le dimanche 5 novembre prochain, tout le monde est convier à participer aux recherches
8 nov – La famille tiendrai une piste, elle publie l’information sur facebook
Elle recherche une métisse (« cafrine » en créole réunionnais) qui aurait aidé Matthieu dès le 23 juin dernier. Cette piste accréditerait l’hypothèse que Matthieu serait toujours vivant et ne serait pas décédé dans la montée de Maïdo.
24 nov –
Le 6 novembre dernier dans un élan de solidarité, 40 personnes ont aidé la mère de Matthieu à effectuer des recherches, ces dernières n’ont rien donné.
Dernièrement, les gendarmes ont mis en place un nouveau dispositif : ils lancent des sacs lestés au poids d’un homme dans des endroits pentus pour évaluer où pourrait être le corps de Matthieu Caizergues.
Toutefois la famille s’indigne de ne trouver cette nouvelle information que dans la presse.
Le cas de Mr Gallot.
Disparu le dimanche 15 octobre 2017 : M. Gallot dans le secteur du Balaïtous. Âgé de 55 ans, Monsieur Gallot était équipé d’un sac à dos qui serait de couleur orange/violet. Son véhicule a été retrouvé sur le parking du Plaa d’Aste, à Arrens-Marsous.
Les gendarmes du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Pierreffitte Nestalas poursuivent les recherche.
Secteur de la disparition.
Le Balaïtous, massif granitique pyrénéen, se situe à la frontière entre la France et l’Espagne. Il marque le début, en venant de l’ouest, des Hautes-Pyrénées.
23 oct : le PGHM relancent un appel à témoins et diffusent 2 photos.
Toutes personnes susceptibles d’éclairer les enquêteurs peuvent appeler la gendarmerie d’Argelès-Gazost au
05.62.90.41.30 ou le PGHM de Pierrefitte-Nestalas au 05.62.92.71.82
Il a stationné son véhicule, une citroen C.4, sur le parking du Plaa d’Aste (maison du parc après le lac du Tech). Il est susceptible d’avoir parcouru l’un des deux itinéraires suivants, indique le groupement de gendarmerie : secteur 1 : Larribet – port du Lavedan – Respomusos – Port de la Peyre Saint Martin et retour ;
secteur 2 : Larribet – Port du Lavedan – Col du Palas – Arremoulits – lac d’Artouste, col de la Lie et retour.
