Une rumeur discrète sur les favoris de la SaintéLyon…
La SaintéLyon n’en finit plus d’attirer des grands noms. Après les regards tournés vers Benjamin Polin, une nouvelle rumeur commence à bruisser dans les coulisses du trail français. D’après une source ayant récemment échangé avec eux, Aurélien Dunand-Pallaz et Camille Bruyas envisageraient très sérieusement de participer à l’édition 2025 de la SaintéLyon. Loin d’une volonté de performance ou de revanche, leur motivation serait simple : terminer leur saison dans une ambiance festive, en mode “plaisir”.
C’est par un message privé adressé à la rédaction que cette information a été transmise, avec la précision suivante : « J’ai été en contact récemment avec ces deux traileurs élites et ils m’ont dit que, pour finir la saison, un SaintéLyon pour le fun pourrait effectivement s’envisager. »
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Pas de confirmation officielle à ce stade sur ces favoris surprise à la SaintéLyon
Il convient cependant de rester prudent. Ni Camille Bruyas, ni Aurélien Dunand-Pallaz n’ont communiqué officiellement sur leur présence à la SaintéLyon 2025. L’information reste donc à l’état de rumeur. Contactée, la rédaction n’a pour l’instant pu vérifier cette donnée de manière indépendante. Il est donc impossible de confirmer leur inscription ou leur participation.
Une participation symbolique plus que stratégique
Si cette hypothèse se confirmait, elle aurait un double sens. D’abord parce que ces deux coureurs — habitués aux ultra-trails de très haut niveau — ont rarement été vus sur la SaintéLyon ces dernières années. Ensuite, parce qu’un retour en mode « off » ou sans objectif chronométrique traduirait une volonté assumée de renouer avec une course populaire, en marge de l’élitisme du circuit mondial.
Camille Bruyas, deuxième de l’UTMB 2025, enchaîne les performances au plus haut niveau et n’a pas évoqué publiquement une quelconque participation à la SaintéLyon. Aurélien Dunand-Pallaz, troisième de la Diagonale des Fous 2025, sort lui aussi d’une saison exigeante, marquée par une place dans le top 3 à La Réunion. Revenir à la SaintéLyon aurait donc une dimension plus libre que compétitive, si cette rumeur se confirme.
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La SaintéLyon, course de clôture… et de surprises
Il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir d’attraction de cette course mythique. Située à la frontière entre route et trail, la SaintéLyon attire des profils variés, du coureur débutant au champion du monde, dans un cocktail de froid, de nuit et d’imprévus. En cette fin novembre, beaucoup viennent y chercher leur dernier frisson de la saison.
Et si cette rumeur venait à se confirmer, la SaintéLyon 2025 gagnerait encore un peu plus en prestige.
Faut-il vraiment croire à leur présence sur la SaintéLyon ?
La rumeur existe, mais elle reste fragile. Le format de la SaintéLyon joue clairement en leur faveur : une course nocturne, roulante, rapide, bien plus courte que leurs ultras habituels dépassant les cent kilomètres. Pour deux athlètes capables d’encaisser des charges monstrueuses, ce type de profil représente une sortie “plaisir” parfaitement compatible avec une fin de saison, sans stress compétitif ni gestion énergétique complexe.
Mais le calendrier post-UTMB et post-Diagonale pèse toujours dans la balance. Les périodes de transition sont précieuses pour éviter la surcharge, et leurs partenaires — Hoka pour Camille Bruyas, Asics pour Aurélien Dunand-Pallaz — encadrent généralement les engagements tardifs pour limiter les prises de risque. Une SaintéLyon reste rapide, glissante, et les marques ne valident pas toujours un déplacement qui peut exposer à une chute.
Sur le plan technique, leur présence serait à la fois cohérente et atypique. Cohérente parce qu’ils disposent d’un moteur physiologique largement suffisant pour dominer ou s’amuser sur un terrain semi-route. Atypique, car ni Camille ni Aurélien n’évoluent habituellement sur des courses qui ne sollicitent pas leurs points forts : gestion en altitude, longues montées, descentes engagées, stratégie énergétique complexe. La SaintéLyon ne teste pas vraiment leur ADN de coureur d’ultra montagne.
Sur le plan symbolique, en revanche, l’idée a du sens : clore la saison dans une ambiance populaire, visible, nocturne, festive, loin de la pression des grands rendez-vous internationaux. Et pour leurs marques, une apparition sur ce terrain hybride serait un message marketing clair : montrer la polyvalence, se rapprocher des coureurs grand public et profiter de la visibilité exceptionnelle de la nuit lyonnaise.
En résumé : une participation “possible”, cohérente sportivement, logique médiatiquement… mais encore très loin d’être confirmée.
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