Les championnats du monde de cross-country ont eu lieu ce samedi 30 mars dernier en Serbie, à Belgrade, la capitale. Il a fait très beau avec des chaleurs proches des 30°C et du soleil. La course a été très difficile en raison de la chaleur. A cela vous ajoutez un parcours très plat.
championnats du monde de cross-country – Des conditions, comme s’ils avaient besoin de ça, vraiment favorables aux athlètes africains. D’ailleurs les résultats ont montré une mainmise de ces derniers sur toutes les catégories.
A tel point, qu’on arrive à parler de classement hors africain pour parler du résultat d’un athlète.
résultat hommes : victoire de l’Ougandais Jacob Kiplimo en 28’29”.
Chez les hommes par exemple, on relève que Mehdi Frère, 20 ième dans le classement, est le troisième des non africains.
D’ailleurs il est un des meilleurs marathoniens français. Mehdi Frère s’en est quand même bien sorti. Vingtième entre nous ce n’est pas, on ne va pas se mentir, un classement incroyable, mais néanmoins troisième européen et meilleur français car Emmanuel Roudolff-Levisse finit lui 35 ième, et Michaël Gras a abandonné. C’est l’Ougandais Jacob Kiplimo qui a gagné en 28’29”.
résultats femmes
Coté Femmes, encore plus fortes que les hommes, les africaines ont plus que dominé la course, plaçant à une 47 ième place en 35’10’’, la seule représentante française, à savoir la championne de France Cécile Jarousseau. Elle finit à plus de quatre minutes de Beatrice Chebet, la kényane, qui a d’ailleurs conservé sa couronne mondiale.
On a été ridicules, à quoi servent ces championnats du monde de cross ?
Vous savez tout, une belle razzia des africains a comme toujours écrasé ces championnats du monde.
Les hommes français ont tenté de faire au mieux de leur capacité du moment.
Les femmes françaises, elles, n’ont pas existé.
Que faire ? Que dire ? Faut-il boycotter ces championnats du monde car la concurrence des pays africains est trop compliquée ? C’est peine perdue. Ou faut-il continuer à y participer quitte à faire de la figuration au mieux ou, même, frôler le ridicule ? Visiblement c’est la stratégie choisie par notre chère fédération française d’athlétisme.
Et vous ? Vous en pensez quoi ? Faut-il persévérer dans une discipline où nous n’avons aucune chance ?
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