assurance annulation marathon de paris
Dans la famille « looser », je demande votre serviteur. Si vous avez suivi ces quelques jours, j’expliquais préparer le marathon de Paris ; et même si c’était dans le cadre d’une préparation plus générale, je devais quand même aller à Paris et le courir. J’étais assez pressé d’y aller, surtout que mon premier marathon de Paris avait été en 2014, et voir dix ans plus tard de quoi j’étais capable m’intéressait.
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coucou la gastro
Et finalement, bah… Ça n’a pas été le cas. Parce que 48 heures avant le départ, j’ai redécouvert les joies de la gastro. Et même si, en me soignant, ça allait moins mal, ça restait quand même irresponsable de me dire qu’après deux jours de fièvre, de vomissements, sans manger et en ne buvant pas grand-chose, c’était tentable.
S’il faut essayer de voir le bon côté des choses, je préfère que ça soit arrivé là plutôt qu’avant le GRP, ou avant l’Ecotrail. Le MDP, c’était une étape et pas un objectif. De plus, quand j’ai vu que j’avais une tension à 9,7 et qu’à chaque fois que je descendais un escalier, je faisais une heure de sieste (sans trop exagérer), s’obstiner à aller courir le marathon, c’était pas malin. Alors oui, je ne connais que trop bien les partisans du « no pain no gain » qui vont me traiter de fragile, et franchement, grand bien leur fasse. Tout ce que je peux leur souhaiter, c’est d’aller courir le marathon avec une gastro ; avec un peu de chance, c’est la dernière chose qu’ils feront…
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Est-ce qu’il doit y avoir une morale à cette histoire ? Peut-être que la prochaine fois, je prendrai l’assurance annulation…
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