Vivre, courir, respirer… et ignorer Casquette Verte.
C’est la leçon de résilience que nous offrent aujourd’hui des millions de traileurs anonymes : parvenir à conserver une certaine joie de vivre malgré l’omniprésence numérique et éditoriale de Casquette Verte. Oui, il est encore possible d’être heureux, même si à chaque fois qu’on va sur Facebook, Insta ou Youtube on tombe sur des articles sur « comment s’organiser au boulot grâce à Casquette Verte« , sur son « mode d’emploi pour devenir une rockstar » ou encore pour se persuader qu’on ne peut pas sauver la planète tout seul. `
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Casquette Verte sur les réseaux sociaux…
Pour beaucoup, l’apparition surprise de Casquette Verte dans leur fil d’actualité déclenche une forme de dissociation mentale. « J’étais sur une vidéo d’analyse technique de descente en trail, et sans prévenir, boum, il apparaît, torse nu, parlant de « l’élite molle » », témoigne Loïc, traileur des Hautes-Alpes aujourd’hui en convalescence numérique. « Mais j’ai appris à respirer. À détourner les yeux. À me recentrer sur les sentiers. »
Courir pour oublier
Selon une étude commandée par Le Goratrail Institute of Absurd Running Studies, 76 % des traileurs interrogés affirment qu’ils ont augmenté leur kilométrage hebdomadaire simplement pour échapper à un nouveau post sur Casquette Verte. « Plus je cours, moins j’ai de batterie sur mon téléphone, donc moins je risque de tomber sur ses vidéos. Ça m’a sauvé », confie Chloé, 38 ans, désormais finisheuse du Tor des Géants sans jamais avoir cédé à la tentation d’un « like ».
Le bonheur est dans le trail, pas dans le feed
Finalement, ce phénomène de survie mentale pourrait bien avoir un effet collatéral positif : une vague de retour au trail déconnecté, sans Strava, sans réseau, sans influenceur. Juste des chaussures, un sentier, et la promesse simple de ne pas entendre parler de Casquette Verte pendant quelques heures. C’est dans ce vide que certains redécouvrent la pureté de la course.
Axelle, traileuse depuis 2018, a tenté le tout pour le tout. Elle a désinstallé Instagram, quitté Strava, vendu ses bâtons, et même annulé son inscription à la Diagonale. « J’étais prête à renoncer au trail juste pour ne plus le voir », confie-t-elle avec émotion.
Mais alors qu’elle pensait retrouver la paix, c’est en sortant de chez elle qu’elle a craqué : la couverture de son livre trônait en vitrine de la librairie du coin, entre un polar islandais et un guide sur les champignons.Depuis, Axelle fait de la marche nordique, casque sur les oreilles. Elle n’écoute plus que du métal instrumental. Et évite soigneusement toute zone contenant des livres, des caméras, ou des casquettes.
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Cet article est une parodie humoristique librement inspirée du style du Gorafi. Il relève de la satire et de la liberté d’expression, garanties par les articles 10 et 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Toute ressemblance avec des propos ou des attitudes réelles est volontairement exagérée à des fins de commentaire social humoristique.
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Cette image est une création parodique à visée humoristique, librement inspirée du style du Gorafi. Elle relève de la satire et de la liberté d’expression, protégées par les articles 10 et 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Toute ressemblance avec des personnes réelles est volontairement exagérée à des fins de critique sociale humoristique.
Ce visuel ne constitue ni une attaque personnelle, ni une atteinte à l’honneur, mais un trait d’humour dans le cadre d’un débat public sur l’univers du trail.
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