Courir avec un gros penis
Beaucoup de coureurs (si l’on en croit les statistiques officielles) auront tendance à souffrir du syndrome de Pinocchio.
Courir avec un gros penis – Alors non, il ne s’agit pas d’avoir le nez qui s’agrandit quand on ment. En revanche, il y a bien un lien avec une protubérance mal placée. On pensera ici plutôt à celle qu’on aura entre les jambes et qui pourra constituer un handicap (toujours selon les statistiques). Mais ce syndrome est-il vraiment un handicap ? Oui, oui et oui.
Avoir un gros pénis = courir avec un meilleur équilibre
Commençons par l’avantage, car il y en a un. En effet, ça permet de mieux gérer son équilibre sur un terrain technique (un peu comme la dérive d’une planche à voile).
La poutre qui se voit
Les inconvénients, maintenant… Vestimentairement, on ne peut pas mettre ce qu’on veut. Le cycliste et le cuissard, vous oubliez.
Si vous n’aimez pas trouer vos tshirts quand vous mettez un dossard et que vous privilégiez la ceinture, votre dossard se retrouvera régulièrement soulevé (pas pratique).
Si vous êtes en descente et que vous avez un positionnement un peu délicat (trop avancé par exemple), vous prenez le risque de vous prendre les pieds dedans et de vous casser la binette. Ce serait dommage. Et que dire de l’hygiène si vous laissez traîner le bazar à terre…
Enfin, il convient de faire bien attention aux irrigations sanguines.
Si vous n’avez plus assez de sang dans le cerveau, ça craint.
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