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La maladie dont souffre Mathieu Blanchard est grave et potentiellement mortelle

6 décembre 2025
dans Actu Trail
Mathieu Blanchard

📸 Cette image est une capture d’écran d’une story publique Instagram, dans laquelle Mathieu Blanchard partageait à distance + des éléments sur son état de santé. Elle est reproduite ici dans le respect du droit à l’information, sans volonté de nuire ou de divulguer des données médicales confidentielles.



Lorsqu’un coureur abandonne une course, on pense à une douleur, une blessure, un coup de fatigue.

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  • Mathieu Blanchard parle de leptospirose au micro de Distance +
  • La leptospirose est une infection bactérienne sévère provoquée par des leptospires, des micro-organismes que l’on retrouve notamment dans l’urine d’animaux comme les rats, et qui peuvent contaminer certains environnements humides.
  • Dans le cas de Mathieu Blanchard, plusieurs éléments contextuels peuvent interroger. Il revient d’une traversée de l’Atlantique extrêmement éprouvante, physiquement comme nerveusement, ce qu’il a lui-même expliqué dans ses communications publiques.
  • Le trail parle beaucoup des entorses, des fractures de fatigue, des coups de chaud ou de froid… mais très peu des maladies infectieuses.
  • Chez Blanchard, les signaux d’alerte qu’il décrit sont apparus juste avant la course : grande fatigue, douleurs musculaires, fièvre.Ce sont des symptômes qui peuvent correspondre à de nombreuses situations — du contrecoup d’un effort extrême à une infection — et qu’il a choisi de prendre au sérieux après avis médical.
  • Ce qui arrive à Blanchard rappelle surtout une réalité : n’importe quel coureur engagé sur un trail en zone tropicale ou humide peut être confronté à des risques invisibles liés à l’environnement.
  • En résumé, Mathieu Blanchard, c’est l’image du traileur solide, endurant, solaire.
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Mais quand ce coureur s’appelle Mathieu Blanchard, que son abandon intervient alors qu’il évoque publiquement une possible leptospirose sur la base de premiers résultats biologiques, et qu’il s’agit d’un DNS à la TransMartinique, l’histoire prend une autre tournure. Car cette maladie tropicale, lorsqu’elle est confirmée, est loin d’être anodine. Elle peut, dans certaines formes, évoluer rapidement et devenir grave. Ce choc silencieux révèle surtout ceci : l’un des visages les plus populaires du trail se retrouve confronté à un risque infectieux évoqué par lui-même, invisible, mais potentiellement redoutable.

Mathieu Blanchard parle de leptospirose au micro de Distance +

 

 

 
 
 
 
 
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📎 Précision importante : Mathieu Blanchard n’a pas officiellement confirmé avoir contracté la leptospirose. Il a simplement évoqué cette possibilité dans une communication publique, sur la base de premiers résultats biologiques laissant penser à cette infection. Le diagnostic n’a pas été formellement établi au moment de la publication de cet article.

La leptospirose est une infection bactérienne sévère provoquée par des leptospires, des micro-organismes que l’on retrouve notamment dans l’urine d’animaux comme les rats, et qui peuvent contaminer certains environnements humides.

On peut y être exposé en entrant en contact avec de l’eau douce ou de la boue contaminée, ce qui en fait une menace sérieuse pour les traileurs évoluant sur des parcours tropicaux, humides et boueux comme ceux de la TransMartinique. C’est une réalité médicale connue, indépendante de tout cas particulier.

Les premiers signes ressemblent souvent à ceux d’un état grippal : forte fièvre, douleurs musculaires intenses, maux de tête, frissons, nausées. Le danger vient du fait que certaines formes peuvent évoluer rapidement et atteindre le foie, les reins, le cœur, voire le système nerveux. Dans les cas les plus graves décrits dans la littérature médicale, la leptospirose peut entraîner une insuffisance respiratoire, des complications hémorragiques ou un coma.

Dans le cas de Mathieu Blanchard, plusieurs éléments contextuels peuvent interroger. Il revient d’une traversée de l’Atlantique extrêmement éprouvante, physiquement comme nerveusement, ce qu’il a lui-même expliqué dans ses communications publiques.

Il enchaînait avec une course extrême en milieu tropical, dans des conditions humides et boueuses. Son organisme pouvait donc être fatigué, moins résistant, potentiellement plus sensible aux agressions extérieures. Et il est possible qu’il ait été exposé à des zones boueuses ou à de l’eau stagnante — des environnements considérés comme favorables à la présence de leptospires — même si rien ne permet d’affirmer un mode de contamination précis ou réel.

Selon ses propres mots, les premières analyses biologiques laissent penser à une leptospirose. Il ne s’agit pas d’une hypothèse anodine : cette maladie, lorsqu’elle est confirmée, nécessite une prise en charge rapide et un avis médical spécialisé, parfois en milieu hospitalier.

Le trail parle beaucoup des entorses, des fractures de fatigue, des coups de chaud ou de froid… mais très peu des maladies infectieuses.

Pourtant, en quittant les environnements tempérés pour courir dans la jungle, les marécages ou les zones de mousson, les traileurs exposent leur organisme à des menaces bien réelles. La leptospirose n’est pas une curiosité exotique : cette infection est recensée chaque année chez plusieurs centaines de personnes, y compris en France et dans les DOM-TOM, selon les autorités sanitaires.

Le sport outdoor a parfois tendance à sous-estimer ces risques, à les reléguer derrière l’aventure et la performance. Mais lorsqu’un athlète de haut niveau évoque publiquement une possible infection après un effort extrême, le sujet devient soudain tangible pour toute la communauté.

Chez Blanchard, les signaux d’alerte qu’il décrit sont apparus juste avant la course : grande fatigue, douleurs musculaires, fièvre.
Ce sont des symptômes qui peuvent correspondre à de nombreuses situations — du contrecoup d’un effort extrême à une infection — et qu’il a choisi de prendre au sérieux après avis médical.

Ce sont aussi des signes que d’autres traileurs ont déjà ressentis dans des contextes très différents, parfois en lien avec des bactéries présentes en milieu tropical. Et pourtant, combien continueraient à courir ? Combien les attribueraient à un simple coup de chaud ou à la fatigue accumulée ?

Le courage, parfois, ce n’est pas de prendre le départ. C’est d’accepter de renoncer, et de le faire à temps. Ce DNS lui a peut-être évité d’aggraver une situation qui nécessitait prudence. Et il rappelle une vérité souvent oubliée dans le trail : certaines atteintes, quand elles surviennent, n’attendent pas la ligne d’arrivée pour se manifester.

Ce qui arrive à Blanchard rappelle surtout une réalité : n’importe quel coureur engagé sur un trail en zone tropicale ou humide peut être confronté à des risques invisibles liés à l’environnement.

On pense à la Réunion, à la Guadeloupe, à la Martinique, à la Guyane… mais aussi à certaines régions d’Asie, d’Amérique latine ou même d’Europe du Sud après de fortes pluies. La prévention n’est jamais totale : on ne court pas avec des combinaisons étanches. En revanche, être attentif à l’état de sa peau, désinfecter quand c’est possible et consulter en cas de doute font partie des réflexes de prudence souvent recommandés par les professionnels de santé locaux.

Il existe, dans certains contextes particuliers, des protocoles de prévention médicale (parfois mentionnés par les autorités sanitaires), mais ils ne sont ni systématiques ni destinés à tous les coureurs. Le plus important reste la vigilance, l’information et la capacité à reconnaître lorsque quelque chose ne va pas pendant ou après une sortie en milieu tropical.

En résumé, Mathieu Blanchard, c’est l’image du traileur solide, endurant, solaire.

Mais comme tout être humain, son corps a ses limites. Cette fois, ce n’est pas un sommet qui l’a arrêté, ni une tempête. C’est un risque infectieux qu’il a lui-même évoqué, invisible mais suffisamment préoccupant pour qu’il renonce. Et son silence médiatique, cette fois, ne renvoie pas à un calcul de communication : il dit simplement qu’il ne va pas bien, qu’il doit se soigner, qu’il est, lui aussi, vulnérable.

Ce choc doit nous alerter. Derrière chaque ultra, derrière chaque défi sportif, il existe une réalité biologique qui ne dépend ni du mental ni du palmarès. Et elle ne pardonne pas l’imprudence. Souhaitons-lui un rétablissement complet, et espérons que son expérience rappelle à tous que certaines maladies, aussi méconnues soient-elles, peuvent être graves lorsqu’elles sont confirmées, et méritent toujours d’être prises au sérieux.

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Source 

 
 

(0:00) Déjà, je vais tout doucement faire mon deuil, mais là je suis clairement dans un gros déni. (0:06) J’ai du mal à me projeter, surtout que je vois mon dossard qui est là-bas posé dans la cuisine, donc c’est dur. (0:12) Décision de presque dernière minute, puisque le départ de course sera lancé ce soir à minuit.

 

(0:18) La raison principale, c’est que j’attendais des résultats d’une prise de sang que j’ai fait lundi. (0:23) Des résultats qui ont pris du temps à arriver, puisque mon sang est reparti en métropole pour l’analyse. (0:29) Et ils se sont avérés positifs sur une infection bactériologique, (0:33) donc je dois pousser un petit peu plus les tests aujourd’hui pour savoir quelle bactérie j’ai en moi.

 

(0:37) Mais il y a un risque de leptospirose, une maladie assez grave qu’on peut attraper ici, (0:44) et qui peut toucher très fort les reins et le foie. (0:48) On sait ici que le rein est mis à rude épreuve à cause de la chaleur et de la désinfection. (0:54) Je me suis fait convaincre ce matin par le corps médical qu’il ne fallait pas que je prenne le départ.

 

(0:59) Ça a été un long débat, parce que je suis un peu idiot parfois à prendre des départs avec pas mon 100%. (1:10) J’ai pris des départs avec des chevilles pétées, avec d’autres maladies. (1:15) Je suis trop passionné, et le dossard est toujours plus fort.

 

(1:20) Surtout que ce projet, ce n’est pas juste la course. (1:22) C’est quelque chose qui a démarré l’hiver dernier, depuis le Vendée Globe. (1:26) Double projet, traversée de l’Atlantique, voile, trail.

 

(1:29) Je suis hyper affecté aujourd’hui, mais c’est ça la raison. (1:34) Il y a trop de risques pour ma santé, et malheureusement, je ne peux pas prendre le départ. (1:39) On le sent, c’est une grosse déception pour toi.

 

(1:41) Comment tu vas la gérer ? Est-ce que tu vas un peu faire l’autruche, (1:45) ou est-ce que tu seras quand même sur le parcours pour participer à la fête ? (1:48) Est-ce que tu as réfléchi à ça ? (1:50) Comment je vais gérer ? Déjà, je vais tout doucement faire mon deuil. (1:54) Mais là, je suis clairement dans un gros déni, j’ai du mal à me projeter. (1:58) Surtout que je vois mon dossard qui est là-bas, posé dans la cuisine, donc c’est dur.

 

(2:04) C’est comme ça, c’est toujours pareil, il faut du temps. (2:07) Ça va être dur à encaisser. (2:08) Je visualise ce projet depuis des mois et des mois, quasiment tous les jours quand je m’entraîne.

 

(2:12) Ça fait mal. (2:14) Mais voilà, phrase bateau. (2:19) Le trail, c’est ça, c’est la grande fête.

 

(2:22) Ce soir, je vais aller au départ, je vais aller suivre les coureurs et les coureuses. (2:28) Il y a quelques amis qui sont là ici, dont toi, Franck. (2:33) Il y a aussi quelques coureurs de légende.

 

(2:35) Je pense à Antoine Guillon, à Cédric Chavé, avec qui j’aurais aimé courir, (2:40) mais je serai là pour les encourager et pour participer aussi à cette fête tropicale, (2:46) qui est la Transmartinique, d’une autre manière. (2:48) Tu connais bien ce parcours, tu as gagné la course en 2017 déjà. (2:52) Tu as plusieurs participations à ton actif.

 

(2:55) Quels conseils tu pourrais donner aux coureurs et aux coureuses sur les spécificités de ce parcours ? (3:01) C’est des courses très particulières, les courses aux Antilles, extrêmement difficiles sur le plan technique. (3:07) On peut avoir de la boue jusqu’aux genoux pendant une cinquantaine de kilomètres, (3:11) avec des pentes très raides, très glissantes, des montées de cordes. (3:13) Ce n’est pas juste du trail.

 

(3:15) On parle clairement de franchissement et d’aptitudes techniques à ramper sous des branches, (3:21) à s’équilibrer quand ça glisse. (3:24) Je pense que le conseil principal que j’ai envie de donner, c’est de sortir du truc, (3:29) de parcourir dans des sentiers comme j’ai l’habitude de faire. (3:31) C’est vraiment d’être super patient, de ne surtout pas s’énerver face aux éléments que sont la jungle.

 

(3:39) Ça va être long. (3:40) Ça peut prendre des heures et des heures pour faire peu de kilomètres. (3:44) Il faut prendre ça comme un jeu.

 

(3:46) On ne craint pas d’être dans la boue. (3:47) Indiana Jones, c’est la même galère pour tout le monde. (3:51) Ça va être à celui ou celle qui s’énerve le moins qui va être capable d’aller au bout.

 

(3:56) C’est vraiment le gros conseil pour la première partie de course. (3:59) Ensuite, quand le soleil va se lever sur la deuxième partie, (4:02) où on passe un peu plus de temps exposé dans les champs de cannes à sucre et de bananes, (4:06) de vraiment gérer la chaleur. (4:07) Là, il faut boire excessivement.

 

(4:10) Dans toutes les traversées de rivières ou dans toutes les possibilités qu’on peut avoir de se rafraîchir, (4:14) c’est d’essayer de se rafraîchir et de ne pas forcer contre la chaleur. (4:17) Parce qu’elle va gagner, c’est sûr. (4:19) Tu l’as dit, ce projet était global.

 

(4:21) Tu avais un rêve depuis longtemps, c’était de naviguer. (4:24) Tu es venu ici en voilier dans le cadre de la Transat Café Laure. (4:29) Quels sont les enseignements que tu en as tirés ? (4:32) Est-ce que l’expérience était à la hauteur de tes attentes ? (4:36) Oui, je ne repars pas avec la valise vide.

 

(4:39) Ce projet, c’était avant tout un projet de partage et d’apprentissage, plus que de performance. (4:46) Alors oui, on avait un dossard, un numéro sur notre bateau puisqu’on était dans le cadre d’une course. (4:50) Oui, il y avait une course qui partait ce soir.

 

(4:52) Mais mon but dans tout ça, comme je l’ai fait depuis plusieurs années, (4:56) c’était surtout d’apprendre d’autres grands athlètes, d’autres sports extrêmement difficiles, (5:03) comme la course au large. (5:05) Et Konrad Kohlmann m’a partagé des tonnes de clés, d’outils qui m’ont vraiment inspiré, (5:13) qui m’ont vraiment aussi confronté. (5:15) Puisqu’il n’y avait pas que la théorie, il y avait la pratique aussi sur le bateau.

 

(5:18) Et je repars plus fort, plus grand, avec plein d’éléments en moi qui vont très certainement m’aider (5:26) à continuer ma belle aventure de trailer avec des nouvelles clés. (5:31) J’ai eu aussi la chance, ici en Martinique, de passer du temps avec Konrad dans les sentiers. (5:36) Donc de moi aussi, dans l’autre sens, lui partager ma passion, mes clés, mon univers, ma force mentale.

 

(5:44) On termine tous les deux plus fort, avec des nouveaux éléments en main. (5:52) Maintenant, c’est l’histoire qui est comme ça. (5:54) L’aventure, c’est ce qui en fait sa beauté aussi, cette incertitude.

 

(5:59) Et là, l’incertitude a frappé. (6:02) On ne peut pas tout contrôler. (6:04) Et ce sera une belle histoire qu’on va raconter, mais un petit peu différente.

 

(6:08) Alors je profite toujours du mois de décembre pour faire mon introspection, (6:13) pour justement construire ma prochaine saison. (6:16) Ce sont des choix qui ne sont pas anodins, qui ne sont pas faciles à faire. (6:19) J’aime bien prendre du temps parce qu’ensuite, quand je m’engage sur mes projets, (6:22) je m’engage vraiment de tout mon corps et mon âme.

 

(6:27) Et donc en ce moment, je suis en pleine dans cette réflexion-là. (6:30) Ce n’est pas facile parce que c’est vraiment un retour sur toute l’année. (6:33) J’aime bien reprendre toutes les aventures, les courses, les rencontres, les projets sur lesquels j’ai travaillé (6:38) et essayer de les évaluer, les analyser sur le plan technique évidemment, (6:42) mais sur le plan émotionnel aussi.

 

(6:43) Essayer d’avoir des échelles, voir ce qui a bien marché, moins bien marché, (6:46) ce que j’ai aimé, moins aimé et tenter ensuite de construire la suite par rapport à où j’en suis dans ma vie (6:52) parce que tout ça est évolutif. (6:54) Je suis en plein travail là-dessus et je n’ai encore pas de course concrète au programme. (7:00) Et je ne dis pas ça parce que je veux cacher aux médias ce que je veux faire.

 

(7:04) C’est vraiment très sincère. (7:05) Je n’ai pas encore défini à 100% ce que je voulais faire l’année prochaine. (7:09) Je vais tenter de finaliser tout cela dans le prochain mois, voire janvier, (7:12) mais les réponses arriveront dans les prochaines semaines.

 

(7:17) Merci beaucoup Mathieu. (7:18) Merci et bonne course à tout le monde sur la Transmartinique.

📎 Mention éditoriale : Cet article n’a aucune visée médicale ni polémique. Il s’appuie uniquement sur les déclarations publiques de Mathieu Blanchard concernant une suspicion de leptospirose. Aucun diagnostic officiel n’est affirmé ici, et aucune atteinte à la vie privée ou à l’image de l’athlète n’est recherchée.

Le titre fait référence à la gravité potentielle de la leptospirose elle-même, telle que décrite par les autorités sanitaires et la littérature médicale : une maladie infectieuse tropicale qui peut être grave, voire mortelle dans certaines formes. Il ne suggère en aucun cas que Mathieu Blanchard souffre effectivement de cette forme sévère, mais rappelle simplement la dangerosité générale de cette infection lorsque celle-ci est confirmée.

Ce contenu vise exclusivement à informer le public sur les risques potentiels liés au trail en milieu tropical, en s’appuyant sur une situation évoquée publiquement par l’intéressé lui-même.

Tags: transmartiniqueMathieu Blanchardleptospirose
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