Pourquoi dormir quand on peut passer la nuit à stresser sour Son trail du Lendemain ?

Lorsque l’excitation d’un trail à venir se mêle à l’anxiété de la performance, le sommeil peut devenir une denrée rare pour de nombreux traileurs.

Le sommeil va bien au-delà du simple repos.

Des recherches émanant de la communauté scientifique confirment son rôle vital dans la récupération. Le sommeil lent profond, en particulier, joue un rôle crucial. Il favorise la libération d’hormone de croissance, essentielle à la reconstruction musculaire. De plus, il diminue l’excitabilité cérébrale, entraînant une relaxation générale des muscles.

L’appréhension d’une compétition peut perturber le sommeil.

Des études montrent que de nombreux athlètes éprouvent des difficultés à s’endormir la veille d’un événement sportif. Le stress peut ainsi déclencher un cercle vicieux de pensées anxieuses, entravant le repos crucial avant la compétition.

Bien que des privations de sommeil extrêmes aient des effets sur les performances, la réalité est souvent plus nuancée.

Des études montrent que des privations partielles de sommeil la veille d’une compétition ne semblent pas affecter significativement les performances en force ou en endurance.

Objectif sièstes

Si le sommeil est compromis la nuit précédant la compétition, il existe des stratégies pour minimiser les impacts. Dormir ne serait-ce que quelques heures peut limiter les perturbations. Éviter de priver partiellement de sommeil sur plusieurs nuits est également crucial. La sieste peut aider à compenser le manque de sommeil antérieur.

Pour favoriser un sommeil de qualité avant un trail, restez au lit même si le sommeil ne vient pas immédiatement. Évitez les écrans lumineux, détendez-vous et ne mangez pas trop tard. L’essentiel est de se préparer adéquatement avec un plan d’entraînement approprié et une phase de repos stratégique.

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