chaussures de trail Salomon Speedcross 5
chaussures de trail Salomon Speedcross 5
L’UTMB, l’Ultra-Trail du Mont-Blanc, est bien plus qu’une simple course. C’est l’événement phare du trail mondial, organisé chaque année à Chamonix depuis 2003. Pendant une semaine, la vallée vit au rythme des départs et arrivées de plusieurs épreuves mythiques qui rassemblent l’élite internationale et des milliers d’amateurs.
En 2025, pas moins de 10 000 coureurs prennent le départ des différentes courses : l’OCC (55 km), la CCC (100 km), la TDS (145 km), la PTL (300 km par équipe), sans oublier l’épreuve reine, l’UTMB (170 km et 10 000 m de dénivelé). Toutes s’étalent sur la dernière semaine d’août, transformant Chamonix et les villages alpins traversés en une gigantesque scène de sport et de fête.
Car l’UTMB, ce n’est pas seulement des chronos et des podiums. C’est aussi un immense festival populaire où se pressent des dizaines de milliers de spectateurs venus encourager, applaudir et vibrer au passage des coureurs. Comme sur le Tour de France, certaines sections deviennent de véritables fan zones, où l’ambiance est à son paroxysme.
Quand on pense à l’UTMB, on imagine avant tout les coureurs qui s’élancent pour faire le tour du Mont-Blanc. Mais ce que l’on oublie parfois, c’est que cette course est aussi un immense festival populaire qui attire des milliers de spectateurs tout au long du parcours. Comme sur le Tour de France, certains points deviennent de véritables fan zones, où le public se rassemble pour encourager, faire du bruit et donner une énergie folle aux athlètes. Deux lieux sont devenus mythiques : Trient, côté suisse, et Vallorcine, côté français, juste avant l’arrivée à Chamonix. À ce moment-là, les coureurs sont épuisés, et l’ambiance du public peut littéralement les porter.
Ces fan zones ne sortent pas de nulle part : elles sont animées par des figures bien connues du trail. À Trient, c’est Clemquicourt, coureur et créateur de contenu suivi par des milliers de passionnés, qui a lancé l’appel à transformer le village en camp festif géant. À Vallorcine, ce sont les Genoux dans le Gif (LGDLG), un collectif de traileurs déjantés, qui orchestrent chaque année un show bruyant et coloré. Deux manières différentes de célébrer l’UTMB, mais une même promesse : faire vibrer la montagne et donner des ailes aux finishers.
Les fan zones sur l’UTMB
À l’approche du week-end, l’UTMB ne se résume pas qu’aux coureurs. Deux rendez-vous festifs se préparent sur la fin du parcours : Trient côté suisse, et Vallorcine côté français. Deux fan zones, deux styles, une même promesse : faire vibrer la montagne.
Trient : le camp improvisé de Clemquicourt sur l’UTMB
Le coureur et créateur de contenu Clemquicourt a lancé l’appel : rendez-vous samedi à Trient. Son mot d’ordre : “ça va être le giga bordel”, mais dans une ambiance cadrée et respectueuse. Il précise : pas de fumigènes, mais des instruments de musique pour encourager les athlètes et mettre le feu sans danger.
Clem promet de s’arrêter pour un “giga câlin collectif”, histoire de mêler coureurs et spectateurs dans un moment à part. Et si jamais les jambes ne suivent plus, il évoque avec humour l’idée de “passer direct à l’apéro”. L’essentiel, répète-t-il, est de donner de la voix pour “tous les braves qui font le tour du caillou”.
Il insiste aussi sur un point pratique : venir à Trient de la façon la plus verte possible. Train, vélo, covoiturage… tout est bon pour limiter l’impact de ce joyeux rassemblement. Pour les spectateurs les plus motivés, Clem suggère de cumuler Trient et Vallorcine, où il promet également de s’arrêter pour saluer la foule.
Vallorcine : la machine LGDLG
Côté français, les Genoux dans le Gif (LGDLG) ont déjà leur réputation : Vallorcine est chaque année l’un des spots les plus bruyants de l’UTMB. Pour l’édition 2025, ils annoncent une “Mission Vallorcine” en grande pompe. Rendez-vous samedi à 10h devant la gare pour le lancement des festivités.
Le programme est clair : distribution de 170 écharpes, 50 drapeaux, bouées, pancartes et têtes géantes de champions (François D’Haene, Courtney Dauwalter, Camille Bruyas, Ruth Croft, Ludovic Pommeret, Théo Detienne, et deux surprises). Le mot d’ordre : ramener aussi ses propres instruments de musique, déguisements et pancartes.
Sur place, la commune de Vallorcine assure la buvette, et une scène avec écran géant sera installée pour suivre la course. L’organisation promet une ambiance “stratosphérique”, où plus le désordre sera grand, plus la fête sera réussie. Vers midi, Clemquicourt y rejoindra la foule, prolongeant l’élan initié le matin.
Duel amical au sommetOn l’aura compris : Trient et Vallorcine ne jouent pas la même partition. D’un côté, une fan zone suisse portée par un coureur, spontanée et bon enfant. De l’autre, une organisation française montée comme une véritable machine, avec scène, buvette et distribution de matériel. Deux styles bien différents, mais une même énergie au service des coureurs.Reste aux spectateurs à choisir leur camp… ou à tenter le doublé.
Trient : le camp improvisé de Clem
Le coureur et créateur de contenu Clemquicourt a lancé l’appel : rendez-vous samedi à Trient. Son mot d’ordre : “ça va être le giga bordel”, mais dans une ambiance cadrée et respectueuse. Il précise : pas de fumigènes, mais des instruments de musique pour encourager les athlètes et mettre le feu sans danger.
Clem promet de s’arrêter pour un “giga câlin collectif”, histoire de mêler coureurs et spectateurs dans un moment à part. Et si jamais les jambes ne suivent plus, il évoque avec humour l’idée de “passer direct à l’apéro”. L’essentiel, répète-t-il, est de donner de la voix pour “tous les braves qui font le tour du caillou”.
Il insiste aussi sur un point pratique : venir à Trient de la façon la plus verte possible. Train, vélo, covoiturage… tout est bon pour limiter l’impact de ce joyeux rassemblement. Pour les spectateurs les plus motivés, Clem suggère de cumuler Trient et Vallorcine, où il promet également de s’arrêter pour saluer la foule.
Vallorcine : la machine LGDLG
Côté français, les Genoux dans le Gif (LGDLG) ont déjà leur réputation : Vallorcine est chaque année l’un des spots les plus bruyants de l’UTMB. Pour l’édition 2025, ils annoncent une “Mission Vallorcine” en grande pompe. Rendez-vous samedi à 10h devant la gare pour le lancement des festivités.
Le programme est clair : distribution de 170 écharpes, 50 drapeaux, bouées, pancartes et têtes géantes de champions (François D’Haene, Courtney Dauwalter, Camille Bruyas, Ruth Croft, Ludovic Pommeret, Théo Detienne, et deux surprises). Le mot d’ordre : ramener aussi ses propres instruments de musique, déguisements et pancartes.
Sur place, la commune de Vallorcine assure la buvette, et une scène avec écran géant sera installée pour suivre la course. L’organisation promet une ambiance “stratosphérique”, où plus le désordre sera grand, plus la fête sera réussie. Vers midi, Clemquicourt y rejoindra la foule, prolongeant l’élan initié le matin.
Duel amical au sommet de l’UTMBOn l’aura compris : Trient et Vallorcine ne jouent pas la même partition. D’un côté, une fan zone suisse portée par un coureur, spontanée et bon enfant. De l’autre, une organisation française montée comme une véritable machine, avec scène, buvette et distribution de matériel. Deux styles bien différents, mais une même énergie au service des coureurs.Reste aux spectateurs à choisir leur camp… ou à tenter le doublé.
Lire aussi
- UTMB : aider un coureur coûtera désormais jusqu’à 65 € aux accompagnateurs
- Nouvelle catégorie sur le marathon de Paris : vous avez toutes vos chances !!
- Le gilet d’hydratation Salomon ACTIVE SKIN 8 SET est en promotion et je l’ai TESTÉ !
- La barrière horaire sur le semi de Paris est de 3h
- Forfait de Anton Krupicka : la liste des favoris à l’UTMB change tout le temps
- Live : comment suivre le Grand Raid des Pyrénées en direct
- Le terme de “guerre des fan zones” est ici une formule journalistique visant à illustrer deux dynamiques communautaires fortes autour de l’UTMB 2025. Il ne s’agit en aucun cas d’un conflit réel, ni d’une opposition personnelle entre Clemquicourt et le collectif Les Genoux dans le Gif.
Cette analyse est rédigée dans le respect du droit à l’information, sans intention diffamatoire ou dénigrante à l’égard des personnes ou entités mentionnées. - La première photo est issue du compte Facebook public du collectif Les Genoux dans le Gif, publiée dans un contexte d’événement festif.
La seconde image provient de la fiche de présentation publique de Clemquicourt, disponible sur le portefeuille de son agent. Ces visuels sont utilisés ici à des fins d’information, dans le cadre d’un traitement journalistique respectueux du droit à l’image et conforme à l’article 9 du Code civil ainsi qu’au droit à l’information.
chaussures de trail Salomon Speedcross 5