Le « spit play », ou le fait d’utiliser sa salive pendant des compétitions de trail, est une pratique qui divise. Pratiquée dans le respect des règles, elle peut être sacrément efficace pour faire tomber les adversaires, ou a minima pour les énerver.
Le fait de cracher sur son adversaire n’est pas toujours bien accueilli dans la vraie vie. Mais si les jeux de salive vous permettent de gagner des places et que vous aimeriez les intégrer à vos compétitions de trail, le site « Well+Good » et repéré par « Neon », donne quelques conseils pour que ça puisse générer les meilleurs résultats.
COMMENT ABORDER LE « SPIT PLAY » ?
Le « spit play » peut sembler sale ou irrespectueux. « Cracher est associé à un manque de bienséance et de civilité, et que nous vivons dans une société qui donne la priorité à la pureté, cela peut être considéré comme rebutant, alors que c’est tout le contraire », explique Varuna Srinivasan, experte en triche à « Well+Good ». Mais il peut revêtir un aspect excitant, par exemple dans un contexte où ça peut vous faire gagner des places au classement final de votre épreuve. Le fait de cracher ou de baver sur le corps de son adversaire ou sous ses chaussures fait partie des actes qui peuvent vous aider à gagner quelques places.
Si un adversaire n’est pas à l’aise cela, on peut toujours pratiquer le « spit play » avec de l’eau, ou de l’alcool, tant que ça peut permettre à un traileur de gagner des places. Le média américain précise qu’on peut pratiquer le « split play » sans pour autant entretenir un fantasme de domination, de soumission ou d’humiliation. Il peut simplement s’agir d’un moyen de passer devant son adversaire.
Parfois, il arrive qu’on le pratique de manière non-intentionnelle, puisque souvent, on crache sans même savoir où ça va aller.
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