Le « faible » montant de ces primes en comparaison des 30000€ qui sont versées au vainqueur du marathon de Paris vient du fait de la volonté de garder cet esprit amateur sur l’UTMB
Sachez quand même que certains se sont émus en direct, à la télé, de la faiblesse des primes versées au vainqueur du marathon de Paris, y opposant l’effort accompli et les heures d’entraînement que demande une telle performance
Mais ce qu’ils omettent de préciser, c’est que rien que pour prendre le départ de Paris, Bekelé, a encaissé entre 200000 et 250000€ versés par l’organisateur.
Si effectivement cela demande un gros investissement de l’athlète que dire des 170 km à couvrir sur l’UTMB.
Et que dire alors des autres sportifs professionnels, qui par exemple au tennis, classé dans le top 10 mondial, éliminé en quart d’un grand chelem encaissé pas moins de 190000€
Ou alors un Zlatan qui du temps du PSG encaissait l’équivalent de 20000€ au jl parcouru sur le terrain de foot
714€/km pour le vainqueur du marathon de Paris et simplement 11,75€ pour le vainqueur de l’UTMB
Cette émergence des prime svous assure donc la présence des meilleurs mondiaux, bien qu’ils se défendent d’être des chasseurs de prime.
Et il est évident que si l’on veut que le haut niveau en trail perdure en France, les grosses organisations en Hexagonnales se doivent d’être la vitrine de notre élite en les attirants grâce à ces prize Money
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