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Et quel plus beau cadeau de Noël qu’une lampe frontale ?
Sur la liste à destination du Père Noël, il n’est pas rare de voir figurer le modèle haut de gamme de chez Stoots : la Kiska 3.
Vantée, adulée et souvent citée en exemple, cette lampe est notamment reconnue pour son excellente autonomie et son positionnement « made in France » — un point sur lequel le débat existe, mais qui n’est pas l’objet de cet article.
Pourtant, quand on y regarde de plus près, le retour que nous avons reçu met en lumière plusieurs limites de la Kiska 3, susceptibles d’interroger quant à son usage en trail, malgré son positionnement haut de gamme.
Tout d’abord, le poids.
Incontestablement, la Kiska 3 s’impose comme l’une des lampes les plus lourdes du marché. Les conséquences ne sont pas uniquement à chercher du côté des cervicales — quoique, après une nuit entière à la porter — mais surtout du côté de la stabilité. La lampe, relativement fine et lourde, a tendance à basculer vers l’avant, puis à glisser sur le front jusqu’au nez. Pas pratique. Au-delà de cet inconfort, elle bouge beaucoup. Impossible, selon le témoignage reçu, de la coincer durablement dans son tunnel métallique : après quelques dizaines de minutes d’utilisation, elle finit par éclairer les pieds. Bien évidemment, si vous avez pour habitude de régler votre lampe toutes les dix minutes et de la repositionner en permanence, cela ne devrait pas poser de problème. Dans le cas contraire, cela peut vite devenir contraignant en trail nocturne.
Autre point évoqué dans ce retour : la technicité de la Kiska 3.
La lampe propose de nombreux modes et fonctionnalités, ce qui peut sembler intéressant sur le papier. En pratique, notre lecteur estime que cette richesse fonctionnelle complexifie inutilement la prise en main. Entre les différents types de pressions, simples ou longues, et les combinaisons nécessaires pour allumer, régler ou éteindre la lampe, la courbe d’apprentissage peut s’avérer longue. Dans des conditions de trail nocturne, notamment en hiver, cette complexité est perçue comme une source de frustration supplémentaire plutôt que comme un réel avantage.
Enfin, selon le témoignage d’un de nos lecteurs, que notre source a souhaité transmettre de manière anonyme conformément au cadre légal, la lampe frontale se serait mise à clignoter puis se serait totalement éteinte lors de sa première utilisation sous la pluie, plongeant son utilisateur dans l’obscurité en pleine nuit.
Un dysfonctionnement de ce type interroge, en particulier pour un produit positionné comme haut de gamme. À ce stade, notre source indique que des démarches sont envisagées avec le distributeur, sans qu’elles aient encore été engagées.
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La marque Stoots, ou toute personne citée, dispose bien entendu d’un droit de réponse, que nous publierons dans les mêmes conditions si elle le souhaite.





