u-Trail
  • BLOG DE TRAIL
  • BOUTIQUE
  • Matos
  • CALCUL VMA
  • UTMB
  • FENIX 8 Pro
  • States of Elevation
  • 🇨🇦
  • 🇺🇸
  • BLOG DE TRAIL
  • BOUTIQUE
  • Matos
  • CALCUL VMA
  • UTMB
  • FENIX 8 Pro
  • States of Elevation
  • 🇨🇦
  • 🇺🇸
No Result
View All Result
u-Trail
Accueil Blog de trail Actu Trail Chasse

Les arguments en faveur du dimanche sans chasse pour courir en sécurité au moins une fois par semaine

5 octobre 2025
dans Chasse
dimanche sans chasse


Sans entrer dans les débats agricoles, écologiques, animalistes ou identitaires, voilà, très concrètement, pourquoi un jour hebdomadaire non chassé réglerait un problème simple de sécurité et d’accès aux sentiers.

Acheter un gilet fluo pour courir pendant la chasse

lien rémunéré amazon

Gilet fluo

Sommaire

Toggle
  • Acheter un gilet fluo pour courir pendant la chasse
  • La plupart des gens travaillent du lundi au vendredi.
    • Cela signifie que, pour la très grande majorité, le seul vrai créneau pour profiter de la nature en sécurité et en famille, c’est le week-end.
    • Si l’on confronte ce calendrier au rythme des coureurs et des familles, l’incompatibilité saute aux yeux.
  • Il faut aussi regarder les chiffres sans passion inutile.
    • Et c’est ce « ressenti de sécurité » qui, chaque week-end, fait renoncer des joggeurs, des familles, des groupes scouts, des clubs de VTT.
  • Au niveau politique, la France a tranché en 2023 : pas de jour sans chasse dans le plan gouvernemental, malgré des propositions parlementaires et des débats récurrents.
  • Regardons ensuite l’argument sociologique dont on parle trop peu. La démographie de la chasse française vieillit ; beaucoup de pratiquants sont retraités, donc disponibles… en semaine.
  • Sur le terrain, ce compromis aurait des effets immédiats.
    • Primo, il clarifierait la planification des sorties.
      • Un dimanche sans chasse supprime ce flou une journée par semaine.
    • Secundo, cela réduit le stress.
    • Tertio, cela favorise la transmission sportive et familiale.
  • Un dimanche sans chasse n’est pas une punition pour les chasseurs, c’est une respiration pour tout le monde.
    • On entend l’objection classique : « le risque existe tous les jours, le dimanche n’est pas plus dangereux qu’un mercredi ».
    • Autre objection : « les arrêtés préfectoraux organisent déjà des restrictions locales, des jours de battue, des règles de sécurité, donc pas besoin d’une règle nationale ».
    • Regardons enfin l’intérêt sanitaire et social à long terme.
  • En résumé, un dimanche sans chasse n’est pas un totem idéologique.
    •  
  • 📚 Bibliographie & sources justificatives
    • Office français de la biodiversité — bilans accidents & incidents de chasse
    • Données démographiques & sociologie des chasseurs
    • Tendances historiques et contextuelles
    • Autres sources législatives et réglementaires (à mentionner si tu cites ces points dans ton édito)
  • Lire aussi
EN STOCK
COMMANDEZ SUR AMAZON
MAINTENANT

lien rémunéré amazon

Gilet fluo

EN STOCK
COMMANDEZ SUR AMAZON
MAINTENANT

Dès qu’on parle chasse, tout s’enflamme. Ici, on ne va pas s’éparpiller. On met de côté les sujets de biodiversité, d’éthique animale, de traditions rurales ou de dégâts agricoles. On part de la réalité vécue sur le terrain, celle d’un dimanche matin où vous partez courir, marcher avec les enfants, pédaler, promener le chien, alors que la saison est ouverte et que des battues s’organisent. L’enjeu de cet éditorial est volontairement restreint : la sécurité et la liberté de passage sur les chemins, au moins une journée par semaine.

D’abord, un constat simple sur nos vies.

La plupart des gens travaillent du lundi au vendredi.

L’hiver, quand on sort du boulot, il fait nuit. Même à l’automne et au printemps, la lumière décline vite.

Cela signifie que, pour la très grande majorité, le seul vrai créneau pour profiter de la nature en sécurité et en famille, c’est le week-end.

Or, en France, la période de chasse s’étend généralement d’un dimanche de septembre jusqu’au dernier jour de février, avec des dates précises fixées par arrêté préfectoral selon les espèces et les départements. Concrètement, le dimanche est un jour chassé dans la quasi-totalité du pays, et les battues au grand gibier y sont fréquentes, car le gros des effectifs de chasseurs est disponible ce jour-là. C’est le droit, c’est la règle du moment, et personne ne le conteste ici sur le fond politique. On s’interroge simplement sur la coexistence avec des millions d’usagers non armés qui, eux, n’ont que ces deux jours pour respirer dehors.

Si l’on confronte ce calendrier au rythme des coureurs et des familles, l’incompatibilité saute aux yeux.

Vous pouvez, bien sûr, choisir vos horaires et vos secteurs. Vous pouvez, bien sûr, « connaître vos droits » et maintenir votre sortie malgré la présence d’une battue signalée. Mais dans la vraie vie, beaucoup renoncent. Ils renoncent parce qu’ils entendent des tirs, parce qu’ils lisent « battue en cours » au départ d’un single qu’ils aiment, parce qu’un enfant stresse à l’idée de croiser des armes, parce qu’un parent n’a pas envie de jouer à la roulette russe.
Les textes imposent aux organisateurs de battue de signaler l’action en cours, de former les responsables, d’installer un encadrement et d’assurer la sécurité des autres usagers. C’est une avancée, c’est sérieux, et ce cadre a été renforcé par le plan « sécurité à la chasse » présenté en janvier 2023, avec 14 mesures sur la formation, les règles en action et l’information des usagers, y compris la répression de la chasse sous alcool.

Mais ce cadre, aussi louable soit-il, ne résout pas le point le plus trivial : quand toute la semaine est chassée et que la plupart des gens ne sont disponibles que le samedi et le dimanche, la cohabitation se tend précisément au moment où la nature est la plus partagée.

Il faut aussi regarder les chiffres sans passion inutile.

L’Office français de la biodiversité documente depuis des années une tendance de fond à la baisse des accidents de chasse.

Pour la saison 2024-2025, un rebond a été enregistré, avec 11 accidents mortels chez les chasseurs, le niveau le plus haut depuis 2019-2020, et une hausse des « incidents » signalés, catégorie désormais suivie de près par les associations et par l’OFB. Nul besoin d’en rajouter : même si la tendance longue est à l’amélioration, le risque perçu par les non-pratiquants reste réel, surtout lors des battues.

Et c’est ce « ressenti de sécurité » qui, chaque week-end, fait renoncer des joggeurs, des familles, des groupes scouts, des clubs de VTT.

Ce ressenti n’est pas une illusion médiatique. Les enquêtes d’opinion le confirment : une large majorité de Français se déclarent favorables à une interdiction de la chasse le dimanche, moins par militantisme anti-chasse que pour s’assurer une fenêtre de tranquillité. Dans plusieurs sondages cités par des médias généralistes, l’idée d’un « jour sans chasse » recueille des niveaux d’adhésion très élevés. On peut discuter la formulation, on peut discuter l’outil, mais on ne peut pas balayer la réalité d’une opinion qui exprime un besoin simple : un jour sans coups de fusil sur les sentiers.

Au niveau politique, la France a tranché en 2023 : pas de jour sans chasse dans le plan gouvernemental, malgré des propositions parlementaires et des débats récurrents.

L’exécutif a préféré renforcer les obligations de formation, la signalisation des battues, l’encadrement de l’alcool et l’information des usagers. On peut saluer ces mesures sans considérer qu’elles répondent à tout. Car la question que nous posons n’est pas « la chasse est-elle suffisamment encadrée ? », mais « peut-on garantir, de manière lisible, une journée de sécurité à ceux qui n’ont que le week-end pour profiter des bois ? ». Aujourd’hui, la réponse est non.

Regardons ensuite l’argument sociologique dont on parle trop peu. La démographie de la chasse française vieillit ; beaucoup de pratiquants sont retraités, donc disponibles… en semaine.

Ce n’est pas un reproche, c’est un fait. Si les chasseurs ont, pour une partie d’entre eux, la liberté d’occuper la forêt le mardi matin, pourquoi concentrer l’effort le dimanche, jour où les autres usagers n’ont justement pas d’alternative ? Instaurer un dimanche sans chasse, c’est simplement étaler l’usage de l’espace en faveur de celles et ceux qui n’ont pas d’autre fenêtre. C’est l’exact miroir d’un compromis déjà testé par le passé en France et courant chez certains voisins européens où des jours non chassés existent selon les régions et les pratiques.

Sur le terrain, ce compromis aurait des effets immédiats.

Primo, il clarifierait la planification des sorties.

Aujourd’hui, entre les arrêtés préfectoraux qui varient d’un département à l’autre, les espèces dont les périodes diffèrent, les battues exceptionnelles au sanglier quand il y a des dégâts et les opérations de régulation, un usager non chasseur a toutes les peines du monde à « savoir » si son itinéraire sera tranquille.
Certes, des panneaux « battue en cours » existent et les organisateurs ont l’obligation de signaler l’action, mais tout le monde a déjà vécu le doute à l’entrée d’un vallon : on part ou pas ?

Un dimanche sans chasse supprime ce flou une journée par semaine.

Vous pouvez décider d’un parcours longue distance, partir tard, emmener des enfants, sans devoir jouer à l’évitement.

Secundo, cela réduit le stress.

La présence d’armes, même dans un cadre strict et respectueux, génère pour beaucoup un inconfort.

Tertio, cela favorise la transmission sportive et familiale.

C’est souvent le dimanche que l’on initie un ado au trail, que l’on fait découvrir un single à un débutant, que l’on organise la sortie club. Une journée non chassée renforce cette dynamique sociale.

Un dimanche sans chasse n’est pas une punition pour les chasseurs, c’est une respiration pour tout le monde.

Car la crispation actuelle leur retombe dessus. Chaque incident médiatisé, chaque tir vers une route, chaque balle perdue qui termine dans un volet, même s’ils restent rares au regard du nombre d’actions menées, abîment l’image de la pratique entière. Or, l’OFB et les fédérations le répètent : la tendance longue est à la baisse des accidents grâce à la formation et aux règles de sécurité. Si l’on veut consolider cette tendance et apaiser la cohabitation, offrir une journée « blanche » au plus fort de la fréquentation non chassante est cohérent.

On entend l’objection classique : « le risque existe tous les jours, le dimanche n’est pas plus dangereux qu’un mercredi ».

Juridiquement, c’est vrai : le danger potentiel ne se cale pas sur le calendrier. Mais socialement, la demande de sécurité ne se mesure pas « par jour », elle se mesure en disponibilité des uns et des autres. Les chasseurs ont, statistiquement, davantage de souplesse en semaine ; les salariés, les artisans, les étudiants et les familles en ont très peu. La sécurité, ce n’est pas seulement réduire la probabilité d’un accident ; c’est aussi réduire le sentiment d’insécurité qui fait décrocher des usages pourtant bons pour la santé publique et le lien social.

Autre objection : « les arrêtés préfectoraux organisent déjà des restrictions locales, des jours de battue, des règles de sécurité, donc pas besoin d’une règle nationale ».

C’est partiellement vrai. Plusieurs départements cadrent très finement les jours de battue, parfois limitent certains modes de chasse à des jours précis, et exigent des carnets, des chefs de ligne, des briefings et une signalisation. Mais cette granularité ne répond pas à la lisibilité attendue par le grand public. Un coureur de passage ne lit pas les PDF de la préfecture avant sa sortie de dimanche. Une règle nationale « dimanche non chassé » fournirait une base simple, compréhensible par tous, qui n’empêcherait pas, le reste de la semaine, de maintenir des chasses strictement encadrées.

Regardons enfin l’intérêt sanitaire et social à long terme.

La France affiche des ambitions de sport-santé, promeut la mobilité active, finance des plans vélo, encourage le tourisme de nature, veut des enfants dehors. Instaurer un dimanche sans chasse, c’est accorder au corps social un rendez-vous hebdomadaire avec ses sentiers, ses forêts, ses chemins ruraux. On sort de la logique du « qui a raison » pour entrer dans la logique du « comment on vit ensemble ». Qui plus est, cet aménagement n’empêche pas la gestion des populations de grand gibier ; il contraint simplement à répartir différemment l’effort sur les autres jours.

Le cœur de l’argument est donc double. Primo, le week-end est, pour l’immense majorité des non-chasseurs, la seule fenêtre pour profiter tranquillement de la nature. Secundo, la chasse française est largement pratiquée par des publics qui, pour une partie importante, ont la possibilité matérielle de déplacer leur activité en semaine.

En résumé, un dimanche sans chasse n’est pas un totem idéologique.

 

La majorité des gens travaillent du lundi au vendredi. Le soir, surtout en hiver, il fait nuit : impossible de profiter de la nature. Le seul vrai moment pour courir, marcher ou sortir en famille, c’est donc le week-end.

Mais le week-end, et en particulier le dimanche, c’est aussi le jour le plus chassé, avec de nombreuses battues. Même si les règles imposent une signalisation et une sécurité renforcée, beaucoup de familles ou de coureurs renoncent par peur des tirs, des armes ou de l’ambiance anxiogène.

Les chasseurs, pour une grande partie retraités, peuvent chasser en semaine. Les non-chasseurs, eux, n’ont pas cette flexibilité. Offrir un dimanche sans chasse, ce serait donc un partage équitable de l’espace : un jour pour ceux qui n’ont pas d’autre choix, les autres jours pour la chasse.

Les chiffres officiels montrent que les accidents de chasse ont diminué depuis 20 ans, mais le sentiment d’insécurité reste fort. Un jour sans chasse clarifierait la situation, réduirait le stress, et encouragerait la pratique sportive et familiale dans la nature.

Enfin, d’autres pays européens ont déjà instauré des jours non chassés. En France aussi, on a connu par le passé un mercredi sans chasse. Ce n’est donc pas une idée extrême mais une solution pragmatique pour apaiser la cohabitation.

Comparaison européenne

Dans plusieurs pays voisins, l’idée de réserver des jours sans chasse existe déjà.
– Au Royaume-Uni, la chasse au gibier est interdite le dimanche dans la plupart des cas, que ce soit en Angleterre, au Pays de Galles ou en Écosse.
– Aux Pays-Bas, la chasse est totalement interdite le dimanche et les jours fériés. Au Luxembourg, certaines chasses collectives sont proscrites le dimanche.
– En Belgique, des restrictions locales limitent aussi la pratique pour favoriser la cohabitation.
– En France, un « mercredi sans chasse » avait été instauré en 2000 avant d’être supprimé en 2003.
– Enfin, dans certains Länder d’Allemagne et d’Autriche, la chasse est limitée à certains jours, ce qui inclut parfois le dimanche. Ces exemples montrent que l’aménagement d’un jour hebdomadaire sans chasse n’est ni inédit ni irréaliste : c’est déjà la règle dans plusieurs pays européens.

C’est une mesure de bon sens au service de la sécurité et de l’accès aux sentiers. Elle ne règle pas tout, elle n’empêchera jamais le risque zéro, elle ne fait pas disparaître les autres tensions de l’espace rural. Mais elle offrirait, chaque semaine, un souffle. Et ce souffle-là, quand on court, quand on initie un enfant, quand on sort d’une semaine chargée, il fait toute la différence.

 

📚 Bibliographie & sources justificatives

Office français de la biodiversité — bilans accidents & incidents de chasse

    • Saison 2024-2025 : 11 accidents mortels parmi les chasseurs, hausse du nombre total d’accidents, 100 accidents recensés, avec 135 incidents matériels. (Office Français de la Biodiversité)
    • Saison 2023-2024 : 97 accidents (dont 58 graves), 6 décès (tous chasseurs), et baisse de 42 % des accidents en 20 ans, baisse de 77 % des décès mortels en 20 ans. (Office Français de la Biodiversité)
    • Saison 2022-2023 : 6 décès chez les chasseurs (niveau historiquement bas) (Office Français de la Biodiversité)

Données démographiques & sociologie des chasseurs

    • En France, 53 % des chasseurs ont au moins 55 ans (soit la majorité de la population chasseresse). (Le Dauphiné Libéré)
    • Étude FNC / Randea (2023) : 42 % des chasseurs ont moins de 55 ans ; 50 % sont en « activité » (non retraités). (Fédération Nationale des Chasseurs)
    • Répartition par tranche d’âge : « 16-24 ans : 5 % ; 25-34 ans : 10 % ; 35-44 ans : 13 % ; 45-54 ans : 19 % ; 55-64 ans : 24 % ; 65-69 ans : 19 % ; 70 ans et plus : 10 % » (EVO Hunt)
    • Enquête plus détaillée : 23 % des chasseurs sont dans la tranche 65-74 ans, 21 % dans la tranche 45-54 ans, 42 % ont moins de 44 ans. (La Volonté Paysanne)
    • Les jeunes de moins de 25 ans représentent un peu plus de 5 % des chasseurs. (Fédération Nationale des Chasseurs)

Tendances historiques et contextuelles

    • Sur 20 ans, le nombre d’accidents liés à la chasse a diminué (ex. baisse de 42 % sur 20 ans pour la saison 2023-2024) (Office Français de la Biodiversité)
    • Réduction de 77 % des accidents mortels sur 20 ans (données 2023-2024) (Office Français de la Biodiversité)
    • Rebond récent : saison 2024-2025 marque une hausse des décès (11 morts) après deux années à 6 décès. (Office Français de la Biodiversité)
    • En 2024-2025, les accidents liés au grand gibier sont majoritaires (63 %) (Office Français de la Biodiversité)
    • 100 accidents recensés en 2024-2025 selon L’Agricole, dont 60 graves (La France Agricole)
    • Selon Le Monde / Décodeurs : la tendance est à la hausse sur un an, mais en net recul sur 20 ans. (Le Monde.fr)

Autres sources législatives et réglementaires (à mentionner si tu cites ces points dans ton édito)

    • Arrêtés préfectoraux définissant les périodes de chasse en France (source OFB) (Office Français de la Biodiversité)
    • Plan « sécurité à la chasse » (2023) — mesures sur la formation, la signalisation, la responsabilité des organisateurs (ce plan est souvent cité dans les médias et documents officiels) (à relier avec les sources de l’OFB et du ministère)
    • Textes de sécurité, obligations des responsables de battues, signalisation et encadrement (voir les publications officielles de l’OFB / ministère de l’environnement / écologie)

 

Lire aussi

  • 100 accidents de chasse et 11 morts : la dernière saison a été la plus meurtrière
  • Comment éviter les accidents de chasse quand on va courir ?
  • Ouverture de la chasse : pourquoi les premières semaines sont les plus dangereuses
  • Pourquoi on ne peut pas comparer les accidents de chasse avec les accidents de voiture
  • Le gouvernement ne va PAS INTERDIRE la chasse sous l’emprise de l’alcool
  • Les chasseurs disent que les forêts sont privées pour nous empêcher de courir
  • OUI, on a le droit de courir pendant la chasse et même pendant une battue
  • Doublement illégal et dramatique : accident de chasse mortel alors que la chasse est interdite en mai… de nuit en plus !
  • Même en période de chasse, vous avez le droit de courir dans les forêts privées

 

Mention éditoriale

Cet article se concentre sur les enjeux de sécurité et de partage des sentiers en période de chasse. Il s’appuie sur des données publiques et des textes officiels. Il ne met en cause aucune personne ni aucune association en particulier et n’entend pas dénigrer une activité légale encadrée par la loi. En cas d’erreur factuelle, les lecteurs et parties prenantes peuvent demander une rectification documentée.

Tags: chasse
Article précédent

Ultra-trail : comment éviter de perdre ses ongles de pieds

Lire aussi ces Articles

forêts privées chasse
Chasse

Même en période de chasse, vous avez le droit de courir dans les forêts privées

par admin
4 octobre 2025
accident de chasse
Chasse

Accident de chasse : un adolescent de 17 ans confondu avec un écureuil décède

par admin
3 octobre 2025
chasse
Chasse

Les médias anglais pointent du doigt l’insécurité liée à la chasse en France

par admin
2 octobre 2025
chasse
Chasse

Chasse : comment ne pas confondre un coureur avec un sanglier

par admin
2 octobre 2025
chasseurs traileurs
Chasse

DÉRIVE : ces organisateurs qui sécurisent leurs trails grâce aux chasseurs

par admin
30 septembre 2025



GPS : FENIX 8 Pro 

Résultat et fin de States of Elevation : Kilian Jornet vient de faire 72 sommets en 31 jours


Ola ! States of Elevation, c'est parti !
No Result
View All Result

Trail

  • Blog de trail (15 794)
    • Actu Trail (11 775)
      • EDITO (2 519)
      • GORATRAIL (375)
      • Chasse (109)
      • résultats trails (655)
      • Premium (39)
    • Infos entrainement (4 047)
      • Santé (716)
  • Equipement (2 341)
    • Chaussure Trail (709)
    • GPS (763)

Trails & Marathons

  • UTMB
  • Diagonale des Fous
  • EcoTrail Paris
  • SaintéLyon
  • Marathon de Paris

Traileurs

  • Kilian Jornet
  • Mathieu Blanchard
  • François d’Haene
  • Casquette Verte
  • Courtney Dauwalter

Actualités trail running

  • Les arguments en faveur du dimanche sans chasse pour courir en sécurité au moins une fois par semaine
  • Ultra-trail : comment éviter de perdre ses ongles de pieds
  • Pourquoi dans la croisade de Strava contre Garmin, les utilisateurs vont préférer leur Garmin
  • Comment éviter les « footing inutiles » qui freinent votre progression
  • Les organisateurs arrêtent l’UTMJ en raison de conditions dantesques
  • Même en période de chasse, vous avez le droit de courir dans les forêts privées
  • Bilan States of Elevation : 31 jours, 73 sommets, 5 000 kilomètres et 200 000 mètres de dénivelé
  • Résultat et fin de States of Elevation pour Kilian Jornet
  • Kilian Jornet vient de finir States of Elevation
  • Strava ET Suunto attaquent Garmin mais PAS pour les mêmes raisons.. POURQUOI ?

AVERTISSEMENT

uTrail est un media qui revendique sa liberté d'expression, indépendant. Les annonceurs qui font de la publicité sur uTrail, n'interviennent en aucun cas sur le contenu éditorial du site uTrail.


Ce site participe au Programme Partenaires d’Amazon EU, un programme d’affiliation conçu pour permettre à des sites de percevoir une rémunération grâce à la création de liens vers Amazon.fr.

NOUS CONTACTER

Contact u-Trail
Partenaires
Pour le trail : pensez aux protéines, pas seulement aux glucides
Deux super sur-pantalons imperméables CIMALP homologués pour l’UTMB
Actu trail À propos Politique de confidentialité Entrainement trail L'équipe
  • BLOG DE TRAIL
  • BOUTIQUE
  • Matos
  • CALCUL VMA
  • UTMB
  • FENIX 8 Pro
  • States of Elevation
  • 🇨🇦
  • 🇺🇸
  • Se connecter
  • S'inscrire

Identification

Entrez vos identifiants ci-dessous

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Créez votre compte premium

Remplissez les champs suivants

Tous les champs sont requis Entrer

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Entrer