Hardrock 100
Entre les performances de Benat Marmissolle, Anne-Lise Rousset et Aurélien Dunand-Pallaz, on peut être fier de la copie que les français ont rendue. Comment expliquer cela?
les traileurs français sont au top
Une bonne préparation et une période d’acclimatation conséquente
On a pu suivre les périodes de reconnaissance de Benat Marmissolle et Anne-Lise Rousset, qui sont arrivés aux USA trois à quatre semaines avant la course afin d’avoir le temps de s’habituer à l’altitude. Et bien leur en à pris, puisque ça a contribué à ce succès.
Une aisance sur le technique connue et reconnue.
Benat Marmissolle et Anne-Lise Rousset ont une réputation et un palmarès intéressant sur des terrains de trail techniques,à savoir la Diagonale pour lui et le GR20 pour elle, ce qui constitue une bonne base pour performer sur la Hardrock.
Un objectif dans la saison : Si la Hardrock est le premier objectif de la saison pour Benat (il va privilégier la quantité cette année en enchaînant avec l’UTMB et la diagonale), Aurélien Dunand-Pallaz en a fait un objetic à part entière et s’est préparé pour. Le potentiel, on savait qu’il l’avait, et le talent à fait le reste.
Une adversité limitée pour les traileurs français
Si Courtney était intouchable chez les filles, du côté des hommes, peu de coureurs avaient le potentiel pour venir embêter nos deux français. Browning et Bowman éventuellement, mais lls restent en dessous. Cette année, pas de François, pas de Kilian, pas de Dakota Jones (même si je ne suis pas sur que ce dernier aurait pu battre Aurélien).
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