La Saintélyon, c’est déjà dans deux semaines ! Aujourd’hui, questionnons-nous sur la fin de notre préparation.
L’été aura été propice à vous reposer avant de préparer cet objectif automnal. Vous avez fait une reprise plutôt tranquille en septembre pour entrer véritablement dans le vif du sujet aux premiers jours d’octobre. La seconde quinzaine de novembre, il est temps de commencer à lever le pied et conserver le foncier acquis ces dernières semaines.
Il est plus important que jamais d’écouter votre corps et d’être attentifs au moindre signe de fatigue. Alléger, voire supprimer une séance ne doit pas vous faire culpabiliser. Et surtout, ne vous mettez pas en tête de rattraper le temps perdu, c’est trop tard. Et si vous avez trop procrastiné, dites-vous qu’il est toujours préférable d’arriver sous-entraîné que sur-entraîné à une épreuve comme la Saintélyon.
Ce que vous pouvez faire en cas de fatigue, c’est remplacer une sortie longue par du vélo (en augmentant de 50% la durée initiale), et réduire les séances seuil ou VMA.
Le plus important, surtout à partir de dix jours avant l’événement, ce sera de bien vous reposer. Car si la Saintélyon n’est pas la course la plus technique qui soit (pour peu que la météo ne soit pas trop capricieuse), son horaire nocturne vous obligera à être beaucoup plus vigilant, et la vigilance demande plus de fraîcheur physique. La nuit la plus importante sera l’avant dernière avant la course (donc de jeudi à vendredi) et en parallèle, dans la mesure du possible, n’hésitez pas à faire des siestes.
Le jour J, il sera important de vous préserver au maximum de l’excitation du soir. Une bonne sieste, un dîner pas trop tardif, un peu de méditation jusqu’à une heure avant le départ et ça va le faire !
Résultats saintélyon
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