L‘ultra-traileur Aurélien Dunand-Pallaz court avec la Huawei Watch 5.
Il y a des choix qui intriguent. D’autres qui dérangent. Celui-ci fait les deux.
Dans l’univers feutré mais codifié du trail de haut niveau, où chaque montre affichée au poignet est une déclaration d’allégeance – à la performance, à la technicité, à une marque, à une culture –, voir un champion du calibre d’Aurélien Dunand-Pallaz faire un pas de côté ne peut pas passer inaperçu. Là où l’élite court avec des montres aux noms rugueux – Fénix, Apex, Vertical –, lui choisit la souplesse, la discrétion, l’approche holistique d’un produit conçu, à l’origine, pour le bien-être : la Huawei Watch 5.
Ce n’est pas une provocation. C’est un choix mûri. Et dans la bouche d’un ultra-traileur qui enchaîne les podiums et les continents, cela sonne comme une leçon d’équilibre. Car avant de vouloir être plus rapide, il faut encore être capable de tenir debout.
Aurélien Dunand-Pallaz, l’ultra de l’exigence
Peu d’athlètes incarnent aussi bien la montée en puissance que lui. Originaire de Haute-Savoie, formé dans les silences blancs du ski-alpinisme, Aurélien n’a jamais cédé à la tentation de brûler les étapes. Année après année, il a construit un palmarès à la force du mental et d’un corps qu’il connaît mieux que quiconque.
Deuxième de l’UTMB, vainqueur de la Diagonale des Fous et de la Hardrock 100, il fait partie de cette caste rare de coureurs capables de briller sur les parcours les plus brutaux de la planète. Mais là où d’autres explosent, lui encaisse. Et s’il y parvient, c’est peut-être parce qu’il a compris plus tôt que les autres que la récupération, la lucidité, le repos, la lecture fine des signaux faibles du corps, sont des leviers aussi puissants que le dénivelé positif.
Aurélien Dunand-Pallaz court avec la montre cardio GPS Huawei Watch 5 ET capteur X-Tap
On pourrait croire qu’Aurélien Dunand-Pallaz a tout misé sur une seule montre, mais ce serait simplifier à l’extrême un choix beaucoup plus subtil. En réalité, il utilise la Huawei Watch 5 en tandem avec son capteur X-Tap, dans une logique de complémentarité plutôt que de substitution. Et surtout, il adapte l’outil au contexte : la montagne appelle la robustesse, les déplacements appellent la régulation.
La Huawei Watch 5 : un compagnon de stabilité au quotidien
La Huawei Watch 5, dans sa version haut de gamme, n’est pas une montre GPS pensée pour les crêtes techniques ou les itinéraires de course non balisés. Mais elle s’est imposée dans la routine d’Aurélien comme un baromètre personnel : elle suit le sommeil, surveille la température cutanée, détecte les signes précoces de fatigue, et propose même des séances de respiration en cas de stress prolongé.
Ce n’est pas une montre de trail à proprement parler : c’est une montre de santé utilisée par un traileur. Et c’est là que réside toute l’intelligence du choix. Car dans une vie rythmée par les stages en altitude, les vols long-courriers, les réveils décalés et les courses qui laissent des traces invisibles, ce type de monitoring devient une arme silencieuse.
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Le capteur X-Tap : un mini laboratoire sous le doigt
En parallèle de la montre, le capteur X-Tap offre une autre dimension d’analyse. Installé sur le flanc du boîtier, ce point tactile lance, d’un simple appui, un scan santé complet : électrocardiogramme, saturation en oxygène, fréquence cardiaque, respiration, température, stress, souplesse artérielle…
Pour Aurélien, ce geste est devenu une habitude, presque un rituel. Il scanne son état général après un long voyage, après une mauvaise nuit, ou avant de décider s’il va recourir ou non. Là où d’autres se fient à leur ressenti, lui choisit la donnée objective. C’est peut-être ce pragmatisme silencieux qui lui permet de durer là où d’autres s’effondrent.
Le capteur X-Tap n’est pas un accessoire séparé.
Il est entièrement intégré au boîtier de la Huawei Watch 5, sous forme d’une zone tactile latérale. En posant simplement son doigt dessus, Aurélien déclenche un check-up complet de ses constantes vitales – sans avoir besoin d’aucun autre capteur.
Huawei Watch 5 vs Garmin Fenix : deux visions du trail
Il serait tentant de comparer frontalement la Huawei Watch 5 à une Garmin Fenix 8, tant les deux montres occupent des créneaux premium. Mais ce serait comme comparer un centre de récupération à un plan d’entraînement : les deux sont utiles, mais ne répondent pas aux mêmes besoins.
Garmin reste la référence absolue dès qu’on parle de :
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cartographie avancée,
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suivi précis des traces GPS,
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autonomie en ultra,
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compatibilité avec les capteurs externes (ceinture, puissance…),
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navigation hors sentiers.
Références Trail, 📊 Tableau comparatif – Huawei Watch 5 vs Garmin Fenix 8 : deux usages, deux logiques
En résumé, Huawei joue la carte de la prévention, du bien-être, de l’introspection physique.
Et c’est précisément cette spécialisation qui plaît à certains athlètes de très haut niveau. Non pas pour performer mieux le jour J, mais pour éviter de sombrer entre deux compétitions, là où la majorité des blessures et des surmenages prennent racine.
Vers une nouvelle génération de montres pour traileurs ?
L’exemple d’Aurélien montre que les traileurs pros ne cherchent plus uniquement la précision technique, mais un accompagnement global. Et cela pourrait bien dessiner l’avenir de la montre outdoor.
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