Dans un message partagé après un stage Salomon, Mathieu Blanchard nous livre une réflexion précieuse : pour progresser en trail, il ne suffit pas d’enchaîner les kilomètres. Il faut aussi structurer son quotidien. Au fil de son témoignage, on comprend à quel point un cadre clair, une routine stable et un entourage positif peuvent transformer une simple pratique sportive en véritable dynamique de performance.
Mathieu Blanchard
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Mathieu Blanchard, une semaine encadrée qui change tout
Mathieu Blanchard revient d’un stage avec le team Salomon, et le constat est sans appel : cette semaine bien rythmée a été un déclic. Entraînements précis, repas équilibrés, horaires fixes, échanges collectifs… ce cadre temporaire lui a permis de remettre de l’ordre dans un quotidien jusque-là plutôt désorganisé. Ce n’était pas catastrophique, dit-il, mais clairement pas optimal.
Loin de l’image glamour du sportif libre et improvisant, Mathieu insiste ici sur l’importance d’une discipline quotidienne. Son rythme d’avant – mails inutiles, entraînements décalés, alimentation désordonnée, sommeil perturbé – ne permettait pas de créer un véritable élan. Avec un cadre structurant, en revanche, tout devient plus fluide.
Créer du momentum grâce à une routine
Ce que le traileur nomme “momentum”, c’est cette dynamique vertueuse qu’un cadre solide permet d’initier. Se lever tôt, s’entraîner tôt, bien manger, siester, relancer un second entraînement, dîner tôt, dormir longtemps… et recommencer. Loin d’être une contrainte, cette routine devient une rampe de lancement vers la progression.
Et ce qui est frappant dans son récit, c’est que cette dynamique ne s’arrête pas au moment où le stage se termine. Même de retour chez eux, les athlètes continuent de s’envoyer des photos de plats sains, de se motiver entre eux. Le cadre collectif a créé une dynamique durable. L’effet groupe joue ici un rôle fondamental.
Une leçon pour tous les traileurs
À travers ce témoignage, Mathieu Blanchard nous transmet une idée forte : pour bien courir, il faut d’abord bien vivre. Et “bien vivre” signifie ici structurer son quotidien, éliminer les distractions, s’entourer de personnes qui partagent la même énergie.
Il va même plus loin : au lieu de commencer un projet avec un plan théorique, il suggère de débuter par une “parenthèse” collective. Un moment hors du quotidien, qui permettrait d’ancrer de nouvelles habitudes, de poser les bases d’une progression cohérente.
Ce que nous dit Mathieu Blanchard, sans jamais donner de leçon, c’est qu’on ne devient pas traileur performant par hasard. C’est l’organisation, la régularité et l’élan collectif qui permettent de progresser durablement. Un message inspirant pour tous ceux qui peinent à retrouver une dynamique d’entraînement : avant de chercher une nouvelle paire de chaussures ou un plan miracle, commencez par structurer vos journées. Le trail, c’est aussi une question de mode de vie.
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Cet article s’inscrit dans une démarche d’analyse de l’actualité trail et ne vise aucunement à nuire à l’image de Mathieu Blanchard. Il s’appuie sur un témoignage public partagé par l’athlète pour illustrer des enseignements utiles à tous les pratiquants.
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L’image associée à cet article est un montage de type « starter pack », utilisé dans un contexte d’actualité, à des fins informatives et humoristiques. Elle ne prétend en aucun cas déformer les propos de l’athlète ni porter atteinte à sa réputation.